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La journée de la femme
-------------------------------------------L iberté d'expression vous avez
À lors que le combat était pas gagnéJ uste une parité que vous méritez
O ubliez les exactions du passé
U nilatéralement vous avez combattu
R ésister vous avec vaincu
N ée comme les hommes vous avez
E nfreint aucune règles vous savez
E galite fraternité vous obtiendrezD epuis toujours vous avez mériter
E t depuis le début de l'humanitéL à vie vous êtes les seules à donner
À vec toutes ces souffrances que vous endurerF emmes je vous dédie
E t même si je suis mal placé
M ais a travers ce texte je vous remercie
M ème si vous meriteriez plus qu'une journée
E t oui car sans vous nous serions pas ici...*
Anthony Dalard
08 mars 2016
Tout droits protégés
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T errible nouvelle lundi dernier j'ai appris
U ne saloperie de maladie t'a pris la vie
M on ami je regrette tes histoires
E t je pleure de ne plus te voir
M aintenant je sais que tu es en paix
A vec ta musique qui t'accompagnait
N os délires je me rappelle
Q ue tes blagues mêmes les moins belles
U ne amitié de 7 ans s'était construite
E t un cancer l'aura détruite
M ais sache que tu sera toujours là
O n oubli pas un ami comme ça
N aturellement tu as été un mec gentil
À lors je sais que la haut au paradis
M ème tes blagues parfois toutes pourries
I rrésistiblement feront rire tes nouveaux amis
Anthony Dalard
Tout droits protégés
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Je brûle du désir de vous revoir
Depuis que je vous sais en ville
Les souvenirs en moi défilent
Dites-moi qu'il n'est pas trop tard.
Vous reconnaitrai-je vraiment
Amour qui enflamma mon cœur ?
C'était il y a si longtemps
Mais j'ai bravé le temps et l'heure
Vous espérant à tout moment.
Bien sûr je ne suis plus la même
Bien sûr que j'ai aussi changé
Je ne suis pas sortie indemne
De toutes ces années envolées
Les saisons petit à petit
Ont rudoyé mon corps
Le prenant en otage
Modifiant mon image
Transformant mon décor.
Mes longs cheveux couleur d'automne
Ce sont éclaircis peu à peu
Et pris la teinte monotone
D'un hiver triste et brumeux
Mon pas s'est fait plus nonchalant
Je ne suis plus une gazelle
Mes yeux n'ont plus la lueur d'avant
Ils ont perdu leur étincelle.
Malgré cela si vous passiez
Aux environs de mes fenêtres
Je crois pouvoir vous reconnaitre
Vous mon amant du temps passé.
Je connais votre silhouette
Mon souvenir l'a dessinée
Quoi qu'il en soit je reste prête
A tout jamais vous retrouver
Mon désir de vous si violent
Est resté ancré dans mon âme
Et mon cœur garde cette flamme
Témoin de mon amour d'antan !
(D.L)
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Je ne sais rien de lui
Je l'ai connu hier
Et comme un courant d'air
Il balaye ma nuit
Mes rêves le dessinent
Je revois son regard
Qui soudain s'illumine
Au fond de ses yeux noirs
Je ne sais rien de lui
Il ne sait rien de moi
Sinon que nos deux vies
Se sont croisées comme ça
Je me suis retournée
Admirant sa prestance
Et il a fait de même
Affriolant mes sens,
Chacun de nous tenté
De rompre le silence
Mais il n'en a rien fait
Et moi je me suis tue
Le voyant disparaître
Au détour d'une rue.
(D.L)