• Poémes Année 2014

    Poémes Décembre 2014

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    La vie !

     

    Lorsqu'on entrevoit sa vie

    On oublie nos rêveries

    On sanglote et puis on rit

    On souffre et l'on gémit

    On brode la nostalgie.

    Qui revêtit nos vies !

    Aux creux de nos mémoires

    On analyse le désarroi

    Sous une autre asservie !

    À la porte du paradis

    On comprend alors que la vie,

    Celle que l'on a choisie

    Passe dans un soupir

     

    Que l'on n’a su chérir .

     

    C.Laurette

     


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    Le chant de l’amour…

    Le chant de l’amour…

     Le chant de l’amour,

    Est le plus beau des atouts !

    Il est fait d’un éclat de lumière

    Posé sur un cœur de pierre.

    Seule dans mon coin

    Je prie chaque matin.

    Retranchée sur moi-même

    Sur un îlot de haine.

    Bravant le désespoir

    Je veux encor y croire.

    Même si l’amour fait mal

    N’est-il pas principal ?

    Ceux qui croisent son chemin

    Chantent les lendemains…

     

    C.Laurette


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    À toi ; mon enfant

     

    À toi ; mon enfant!

    *** 

     

    Mon cœur aride de regrets,

    Je continue à t'aimer.

    Malgré le mal et ma peine

    Qui en âme s’imprègne

    Malgré tout, ma vie reste sereine

    Dans les décors ou règnes

    L’amour de l’être aimé

    Qui chavire mon cœur à souhait.

    Malgré ce bonheur parfait  

    Il me manque ta présence

    Toi que j’ai engendré

    Dans l’amour d’une romance

    Je voudrais pouvoir espérer,

    Que tu confirmes des regrets.

    Doucement sans pleurer,

    Mon cœur maudit c’est imparfait !

    Cet acte conçu à jamais,

    Intrigue d'une vie, d'un passé.

    Je l’avoue sans difficulté

    Sur le sentier de la destinée

    Elle n'a point su rapprocher

    Une mère et sa fille

    Dans cet ultime sacrifice

     

    C.Laurette


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    Seule à méditer !

    ***

    Lorsque la nuit s’écoule avec oisiveté

     Je reste seule à méditer

    Dans l’ombre furtive de mes pensées

    Ne divulguant le moindre de mes secrets.

    La mort trouve asile en mon esprit

    Terrifiant mon corps encor vivant !

    Celui-ci vacille lentement

    Sombrant peu à peu dans l'oubli

     Engloutissant avec lui mes rêveries 

    Qui étais-je durant cette vie ?

    De candélabre déchu et meurtri.

    Irai-je un jour au paradis ?

    J’en doute vu que je suis !

    Rien ! Rien qu’une âme qui plie.

     Au fil des jours sans donner,

    Ce qu’elle a de meilleur en vérité…

    C.Laurette

     

     


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