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Laurette
RUBRIQUE
POEMES ANCIENS
Je suis née le 25 juin 1949 à Dax dans les Landes
Marié depuis plus de trente-cinq ans, maman de deux filles et de cinq petits enfants qui sont ma joie de vivre
La poésie est une source de bonheur ou je plonge durant des heures à lire certains poèmes des grands
Ma muse préférée est Marcelline, c’est près d’elle que je me sens le mieux. J’adore lire et écrire, ce sont mes passe-temps préférés, puisque je ne puis rien faire d’autre étant une personne handicapée, je passe donc le plus clair de mon temps avec mon crayon et mon clavier.
Beaucoup de mes poèmes orne ce blog, vous les trouverez dans certaines rubriques. Celle-ci étant la dernière rubrique créée mes derniers poèmes y seront donc mélangés. Je vous souhaite une bonne lecture affectueusement.
C.Laurette
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Par Cynderella le 26 Février 2014 à 15:39
Le vieux moulin de mon enfance
Change le blé dur en farine blanche.
Le ruisseau est son armure
Avec son eau cristalline pure
Les grenouilles et des criquets
L’admirent sans se lasser.
Les grandes ailes du moulin
Tourbillonnera encore demain.
Dans les cahiers de mon enfance
Il subsiste une romance
Du temps béni de mes vacances
Près du vieux moulin de mon enfance
C.Laurette
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Par Cynderella le 12 Novembre 2013 à 22:47
Ma plume est fatiguée
On va donc ici s’arrêter
Pour combien de temps
Je n’en sais rien du tout
Ce que je sais vraiment
C’est que je suis au bout
Je ne veux plus écrire
Je ne veux plus rien dire
Je veux seulement jouer
Comme d’autres l’ont fait
M’amuser à créer
Sans fouiller mes pensées
Prendre du bon temps
Tout en m’amusant
En inventant des créations
Avec amour et passion
Mon monde poétique s’arrête ici
Je ne sais si un jour il reprendra vie
Un jour peut-être réintégrerais-je ?
Ce monde si longtemps convoité
Au présent, je brigue du repos
Il est possible que j’en eus fait trop
Aussi je prends un repos infini
Pour renflouer ma mémoire ternie
C.L
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Par Cynderella le 1 Novembre 2013 à 22:49
Tu es mon asile, mon îlot
Mon oasis, mon château
Lorsque surgissent mes délires
Les jours confus et difficiles
De tes bras, tu m’enlaces
Me faisant oublier tous tracas
En un instant, tu guéris
Les zones fragiles de mon corps
Tu apaises tous mes émois.
Juste en posant, tes mains sur moi
Tu es mon île, mon asile.
Dès que je me sens si fragile
Tu es celui, qui chaque jour m’évite
À tombe dans le précipice
De mes folies de mes angoisses
Tu m’aides à reprendre courage
Juste en me tendant les bras
Tu es le soleil de mes nuits sans sommeil
Avec toi, le mystère est éphémère
Tu es celui qui m’a toujours aimée
Jusqu’à la mort, je te suivrai...
C.Laurette
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Par Cynderella le 30 Octobre 2013 à 19:54
Lentement, son rêve s’enfuit
Devant les démons de la nuit
Dans un épais brouillard
Lorsque tout devient noir
La belle bohémienne
Qui jadis fut sienne
D’un pas agile et ferme
Parfois, se promène
Un bouquet dans les bras
Elle regarde au loin là-bas
Sur la colline à l’herbe rêche
Ses souvenirs lui reviennent
Que fait-il à présent ?
Lui qui fut son amant.
Saurait-il la rejoindre
Sur le même chemin
Dans le joli petit bois
Celui emprunter tant de fois
Pourquoi est-il parti ?
Ainsi sans rien dire
Il s’éclipsa un beau matin
En plein mois de juin
Dans ce rêve éphémère
Elle ne garde que le mystère.
C.Laurette
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