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Par Cynderella le 15 Novembre 2012 à 22:52
À nouveau, je suis perdue
Que fais-tu, ou es-tu ?
Ce silence me tue.
Savoir, comprendre le contenu.
Pour prendre du recul
Avec bonté, et retenue.
Ma lettre sera lue.
Pour retrouver un lien perdu.
Les mots deviennent une main tendue.
Ceci est insensé, mais à quoi joues-tu
Un jour, tu m'auras perdue
Sur un vieux journal, j'ai lu
Au fond d'un tiroir perdu
Une feuille de papier mis à nu
Parlant d’un amour déchu
Je ne puis croire à ses revues
Qui reste ainsi à la vue
D’acteurs devenus inconnus
Conséquence d’une vie trop obscure
Je n’ose croire à ce subterfuge
Que notre histoire fût
Que quelques pages mis à nu !
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Par Cynderella le 15 Novembre 2012 à 18:51
Se promener, dans la forêt
Découvrir un lieu enchanté
À ses yeux, une telle valeur
Lui remplissait le cœur
Tant d’amour, elle venait puiser
Afin de le redistribuer
L’illusion devint un mirage
En cette idée qui l’effleura
La vie ne se vit point comme çà.
Elle ne se nourrit pas de joie
Alors elle resta là les bras croisés
Puis d’un pas pressé
Elle disparut vers la forêt
Vers ce monde charmé.
Écoutant les oiseaux gazouiller
Le murmure de l’eau fredonné.
Près du ruisseau, elle a observé
Le reflet de son image blessée.
Elle conclut donc avec audace
Dans un courage considérable
Elle se mit à peindre du bonheur
L’incrustant dans chaque cœur
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Par Cynderella le 14 Novembre 2012 à 22:43
J’erre dans la composition irréelle du temps
Écrivant chacun rime avec acharnement
Les couleurs éternelles surprennent mon esprit
Qui lentement s’installe dans la nuit
L'Automne grand magicien, révèle en couleur ce récit.
Narrant la beauté d’une terre majestueuse et exquise
Les arbres en habits de lumière ornent l'espace enflammé
Dans leurs chatoyantes parures colorées.
Le rouge écarlate se mêle à l'or des frondaisons.
Tandis que le vert en brun remplace les expressions
Peu à peu, les feuilles balayées par le vent
Craquent sous les pas turbulents des enfants
Sous un ciel éclairé d’un rayon de lune
Au loin passent les vols de grues
Libérant d'une litanie une douce mélopée
Annonçant l’arrivée d’un hiver engagé
Doux sont ses instants de paix
Présent d’une sève meublant nos pensées
Une ombre flottant dans l'espace du temps.
Raconte son histoire au présent.
Libérant l'espace et la beauté des jours.
Donnant naissance aux sentiments d’amour.
L’Amour, ce lien merveilleux qui nous entoure.
Avec les êtres chers, de cette vie trop courte
Aimer cette nature au rythme des saisons.
Ce doux parfum subtil, cycle des moissons.
Garder en soi l’instant magique.
Musique d’une douceur féerique
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Par Cynderella le 6 Novembre 2012 à 12:56
Je m'appelle Larme !
Je nais dans tes yeux, quand tu baisses les armes
Je coule lentement le long de ta joue
Et fini au creux de ton cou
Je m'appelle Blessure !
Je suis comme un trou dans un mur
J'apparais quand tu as mal
Dès que la vie apparait être fatale
Je m'appelle Souffrance !
Je hante ton âme douloureuse
Quand tu vis la dépendance
Lors d'une histoire amoureuse
Je m'appelle Désir !
J'anime ton corps
Lorsque les sentiments sont trop forts.
Preuve d'amour que tu aimerais offrir
Je m'appelle Amour !
Lorsqu'on pense à moi
On pense à tous ces mots-là
Qui rime avec toujours
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