Arrivée par hasard

Un jour de tristesse noire

Sur un site bien mystérieux

Et pourtant si fascinant à nos yeux

Pensant trouver du bonheur

Hélas, encombré de malheur

Certaines demeures mystères

Dans cette voie bien éphémère

Allant jusqu’à se partager

En deux parties égales

Une voudrait protéger

Une personne bien loyale !

Certains aimeraient se venger

De ceux qui écrivent des ragots.

Mais jamais ils n’ont réussi

À mettre de nom sur un tableau.

Le bruit parfois de leur silence

Les firent endurer péniblement.

Un trajet confus de différence

Concerne une part dominante.

Prenons donc le temps de regarder

Avec plus de perspicacité

Ceux qui demeurent aboient

Que l'on ne distingue même pas!

A vouloir panser chaque blessure

Qui sont de plus en plus profonde

Cela devient de plus en plus dur

Pour aider ce monde qui devient immonde

Imprégner au plus profond de mon cœur

La douleur devient terreur

La peur d'être à mon tour abandonné

Renié et ne plus être aimé.

Pour cause d'une sordide jalousie

Vouloir dire la vérité, sans se protéger des conflits

Qui sont aujourd'hui plus fort qu'hier

Malgré les sentiments à vouloir taire

Cette méchanceté gratuite

Laissons souffler le vent

Qu'il balaie les mauvais jugements

Afin d'éviter des bourrages de crâne 

Qui nous blesse à chaque étape

La peine a de nouveau frappé

Tout ça par la faute d'un potin

Une histoire insensée

Qui nous mène sur d’infects chemins

Près, loin, peu importe la distance

Tant de choses sont à prouver

Noyées dans un chagrin immense

On ne sait par où commencer

Laissons le vent souffler

Sur nos esprits tourmentés

Que la vie nous apprenne la vérité

Afin d’arriver à la convoiter

Il n’est point facile d’apparaître

La personne que l’on vénère

Si l'on finit par détruire

Ce que l'on a soi-même construit !

Laissons le vent souffler

Sur nos esprits troublés

Essayons d'oublier les choses passées

Et toutes ses nuits à pleurer

Rêvons d'un monde meilleur

Rempli d'amour et de bonheur 

Chaque jour à mon réveil.

Une seule pensée résonne à mon oreille.

Les jugements prononcés

Que l'on ne peut oublier !

Un simple doute, ou une parole

Dans les esprits, tous s'affolent

Plus j'avance dans le temps

Plus je me dis, je perds mon temps

À vouloir panser chaque blessure

Qui dans mon cœur perdure !