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Par Cynderella le 8 Octobre 2012 à 19:18
Sous ton charme, elle est tombée
Depuis, elle ne peut se lasser
De tes écrits poétiques
De ton monde magique
Depuis qu’elle a perçu ta plume
Son âme en extase est suspendue
Non pas à ton corps d’athlète
Mais à tes pensées suprêmes
Même les plus insensées.
Enchante l’égérie enivrée
Lorsqu’elle rêve de toi, elle est au paradis
Même en pleine nuit, tu es son rayon de vie
Tu es son souffle, son antre de liberté
Elle veut continuer à t'aimer
Même si ce n'est point une réalité
Elle veut continuer à rêver
Ses plus beaux moments, elles les consument avec toi
Simultanément par la pensée elle retrouve tes bras
Lorsque dans l’écriture elle se noie
Tu flottes dans le moindre de ses pas
Toi le poète, l’amant fidèle
Toi qui la fais rêver d’un monde éternel
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Par Cynderella le 8 Octobre 2012 à 17:08
Tais-toi mon cœur, cela ne sert à rien,
Car nul n'écoute ton chagrin.
Tais-toi mon cœur, même blessé,
Dis-le tout bas, sans déranger.
Tais-toi mon cœur, c'est ça la vie
Peu de bonheur, trop de soucis
Tais-toi mon cœur, tais tes cris,
Garde en silence et puis souris.
Tais-toi mon cœur bat pas si fort,
Même si l'espoir te donne tort.
Tais-toi mon cœur, comme l'amour
Qui s'envole au petit jour.
Tais-toi mon cœur, tu es fatigué,
Viens te poser sur l'oreiller.
Vois la belle rose, éphémère,
Vois l’épine, qui la lacère.
Jusqu’au plus profond de sa chair,
Elle subsiste seule et fière
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Par Cynderella le 4 Octobre 2012 à 23:53
Il y eut des hommes
Que j’eusse aimé en secret
D’un désir frivole
Pour une vie d’éternité !
J’aurais aimé avoir du temps
Pour vivre un nouveau présent
Avoir encore un cœur d’enfant
Mais j’ai vu s’écouler le temps
Des rides marquèrent mes yeux
J’ai dû teindre mes cheveux
Ils m’apprirent que l’extravagance
Ne dure que dans l’incohérence !
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Par Cynderella le 3 Octobre 2012 à 12:46
Pourquoi l’homme détruit-il sans fin
Ce qui l’a construit de ses mains
Cherchant à tout prix le réconfort
Sans faire trop d’effort.
Même plus d’air pour respirer
À force de tout détériorer
Victimes de ses sottises
Il se rabat sur le crime
Je fais partie de ce monde
Souvent, j’en ai honte
Pour oublier ses absurdités
Je me suis inventée
Un monde fait de bonheur
Que j’ai peuplé de douceur
Ce monde est fait pour rêver
Pour s’aimer sans compter
Ce monde s’appelle amour !
Alors à votre tour …
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