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Par Cynderella le 7 Août 2012 à 14:08
Tu pensais !
Que mon cœur manqué d’audace
Prends bien garde qu’il t’efface
Dans ma mémoire bien rangée
Je protège en secret
Ce que la vie m’a donné
Avec certaines vérités
Moi seule ! Je saurais changer.
Lorsque mon ciel devient laiteux
Je prends ce que j’ai de mieux
Pour évacuer cette laideur
Qui souvent me fait peur
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Par Cynderella le 5 Août 2012 à 19:55
Elle a faibli devant ses maux
Ceux écrits avec des mots
Ne sachant qu’ils étaient truqués
Elle les a crus dans l’absurdité
Tout ce que sa main a dicté
Était ! Sans nul doute erroné
De cette crainte elle s’inspire
Pour évacuer tout délire
De cette affection née de confusion
De désagréments en divagation
Il en reste qu'une tentation
Aux portes de la corruption
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Par Cynderella le 5 Août 2012 à 19:09
Extérioriser un amour immature
Sur un ciel gris devenant noir
Un amour empli d’amertume
Soupirant dans le désespoir
Faiblissant dans votre salon
Au milieu de vos lampions
En vous, elle crut
En votre plume incongrue
Permettez-moi ! Monsieur
Vous qui sembliez si gracieux
De vous qualifier de menteur
Dans toute votre grandeur
Le mensonge vous sied à ravir
Depuis que vous m’avez séduite
Que cela vous plaise ou non
Je crierai haut et fort ! Votre nom
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Par Cynderella le 5 Août 2012 à 19:03
Qu’ils fussent beaux ses mots inscrits,
Transformant l’odeur des lys.
En un sortilège suprême
Qu’elle eut porté tel un diadème
Ils enchantèrent sa vie,
Tous vos petits mots écrits.
Hélas ! Ils ne furent que futilité.
Ses mots écrits avec légèreté.
Elle a cru en votre amour ! Monsieur.
Ainsi qu’à vos discours ! Fielleux
Pour sortir de ce labyrinthe
Elle n’a plus qu’à s’éteindre
Dans l’univers de l’écriture
Pour oublier ce ciel obscur
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