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    Tu pensais ...

     Tu pensais ! 

     

    Tu pensais ...

    Que mon cœur manqué d’audace

    Prends bien garde qu’il t’efface

    Dans ma mémoire bien rangée

    Je protège en secret

    Ce que la vie m’a donné

    Avec certaines vérités

    Moi seule ! Je saurais changer.

    Lorsque mon ciel devient laiteux

    Je prends ce que j’ai de mieux

    Pour évacuer cette laideur

    Qui souvent me fait peur 

    Lorsque sonnera mon heure !

    Tu pensais ...



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  • Faussetés !

    Faussetés !

    Elle a faibli devant ses maux

    Ceux écrits avec des mots

    Ne sachant qu’ils étaient truqués

    Elle les a crus dans l’absurdité

    Tout ce que sa main a dicté

    Était ! Sans nul doute erroné

    De cette crainte elle s’inspire

    Pour évacuer tout délire

    De cette affection née de confusion

    De désagréments en divagation

    Il en reste qu'une tentation

    Aux portes de la corruption

     

    Faussetés !

     

    Faussetés !

     


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  •  

    Comment ?

    Comment ?

    Extérioriser un amour immature

    Sur un ciel gris devenant noir

    Un amour empli d’amertume

    Soupirant dans le désespoir

    Faiblissant dans votre salon

    Au milieu de vos lampions

    En vous, elle crut

    En votre plume incongrue

    Permettez-moi ! Monsieur

    Vous qui sembliez si gracieux

    De vous qualifier de menteur

    Dans toute votre grandeur

    Le mensonge vous sied à ravir

    Depuis que vous m’avez séduite

    Que cela vous plaise ou non

    Je crierai haut et fort ! Votre nom

     

    Comment ?


     Comment ?


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  •  

    Monsieur !

    Monsieur !

     Qu’ils fussent beaux ses mots inscrits,

    Transformant l’odeur des lys.

    En un sortilège suprême

    Qu’elle eut porté tel un diadème

    Ils enchantèrent sa vie,

    Tous vos petits mots écrits.

    Hélas ! Ils ne furent que futilité.

    Ses mots écrits avec légèreté.

    Elle a cru en votre amour ! Monsieur.

    Ainsi qu’à vos discours ! Fielleux

    Pour sortir de ce labyrinthe

    Elle n’a plus qu’à s’éteindre  

    Dans l’univers de l’écriture

    Pour oublier ce ciel obscur

     

    Monsieur !

     

    Monsieur !

     


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