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Par Cynderella le 26 Septembre 2012 à 12:43
Je divague !
Je ne sais que faire
J’erre dans ce vaste univers
À la recherche de l’être cher
Celui pour qui je désespère
Celui dont je rêve la nuit
Couchée au fond du lit
Mes pensées s’embrouillent
Mon cœur, et ma vue se brouillent
Ma tête explose, je déraisonne
Comment retrouver cet homme
Aperçus un soir d’orage, au coin de la rue
Près de moi, il avait jailli, puis il a disparu
De son parfum, je me suis imprégnée
Et depuis je ne puis l’oublier…
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Par Cynderella le 25 Septembre 2012 à 21:28
Toi qui viens te pencher, doucement sur ma feuille
C’est dans les faux plis, et sans que je l’effeuille
Les mots se bousculent à l’infini
Trébuchant parfois sur un écrit pénible!
Après avoir barbouillé, sur du papier velours
Enivrée sans pudeur, j’ai écrit sans détour
Quelques facéties, et quelques mots d’amour
Qu’un matin j’ai perdu, au lever du jour !
Quelques miettes du temps, perdu à chercher
Comment ai-je donc pu ! Ainsi tout effacé
Dans un triste concerto, la fatigue m’envahit
M'encombrant, tel un fardeau sans vie
L’oiseau reste serein, je suis mal dans ma peau
Combien de temps encore, pour que le ciel soit beau !
Oiseau ! Bel oiseau bleu, dis moi donc ton secret
Que je puisse à mon tour être aimée !
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Par Cynderella le 22 Août 2012 à 21:28
Mensonge vanité et vérité !
Quel trio ! Qui fait qu’en ce monde tout succombe.
Entre la vérité, la vanité, et le mensonge ! Que de songes
Dans notre monde, tout ne serait-il que mensonge et vanité ?
Il y a bien longtemps que j’ai abandonné
De chercher où tout ceci était caché
Tant de questions, je me suis posée
Mais hélas ! La réponse je n’ai pas trouvé.
Alors, aujourd’hui après bien des années !
Passées à me morfondre dans mes pensées
Sur mon passé, j’ai tiré un trait
J’ai écrit ce qui hanter ma vie
Aujourd’hui me voilà guérie sans psy
Ne voulant pas être désagréable
J’ai tourné la page aux histoires déplorables
Je veux laisser à ma plume la liberté.
Et le soin d’écrire ses excentricités
Même si cela est mal interprété
En elle, j’ai une confiance illimitée
Le principal n’était pas de vivre sereinement !
En excluant le mal distribué inlassablement
Laissez-moi ! M’exprimer avec mes mots courts.
Qui vous parle sans grands discours
Ils égayent simplement ma page
Sans pour cela devenir redoutable
Ils sont mon petit brin de fantaisies
Avec eux, je m’abandonne à cette folie.
Associée à mes limites, j’en fais l’oubli,
De ses mots écrits, qui ont gâché ma vie !
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Par Cynderella le 7 Août 2012 à 14:18
La petite fille aux cheveux blonds
À trébucher sur le goudron
Elle maudit encore les grands
De lui avoir volé son champ
Pour en faire un lotissement
Adieu ses jeux d’enfants
Adieu son coin d’errance
Il ne lui reste que le souvenir
Qui en elle restera infini
Le genre humain, elle le haïra
De lui avoir pris son oracle
Préférant le ciment à la terre
Grand Dieu quelle misère...
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