Je vais te raconter les secrets de mon cœur 

Je vais te les avouer sans crainte et sans peur

Je vais aussi te dire que tes sourires

M’emportent vers les plus doux délices.

 J’ai découvert avec toi le gout du désir

Sous une cascade de plaisirs

Mes yeux dans tes yeux, je vais t’avouer

Mes plus doux secrets

Je te chuchoterais jour et nuit

Des mots d’amour à l’infini 

Lorsque j’imagine que tu penses à moi,

 Un frisson de plaisir s’empare de moi.

Merci pour ce que tu m’apportes

Et l’amour que tu me donnes !

Perdue, perdue dans ce noir

Je suis poursuivie par le désespoir.

La peur de l'inconnu me taraude

Alors que mes fantômes rôdent.

L'avenir me parait être indécis

Dans ce monde fragile

J'ai cru bien souvent en ma bonne étoile

Mais aujourd'hui, elle se voile.

Je veux revoir le bout du tunnel

Que ce cauchemar s'arrête à mon réveil.

Lorsque l'amour disparaît en moi

Je perds mon sang-froid

Au bout du chemin, que d’ombres

Il n'y a qu'un seul nom et je m’effondre

Celui de mon cœur que tu as écorché.

À ce jour, tu n’as point su le raccommoder

Cette fois, il n’y a aucune échappatoire

C’est la fin de notre histoire !

Je ressens un petit pincement au cœur

Qui m'étreint dans mon malheur

Lorsque je repense à nous deux

Comme nous étions heureux.

Je relis nos messages vieillis

Qui reste gravée dans mon esprit

Je repense à tous nos moments.

Ceux que nous avons passés ensemble

Notre histoire d’amour était inimitable

C'est à peine si elle était concevable

Mais tout est détruit aujourd'hui

Car loin de moi tu es parti.

J'aimerais tant pouvoir remonter le temps

Et revenir vers toi comme avant

Mais à présent, ceci est irréalisable

Tu n’existes plus, voilà où est la faille !

Des jours !

Il est des jours pénibles

Ou l’on s’efforce de dissimuler

Des souvenirs, combien terribles

Dont nul ne peut nous délivrer

Dans nos mémoires sont gravés.

Des moments durs et compliqués

Le temps vient multiplier 

Des mots souvent mal relatés 

Il connaît nos déficiences  

Les sculptant clairement

Entre colère et rage

Nous entrainant jusqu’au naufrage

En larme, nous quittons le navire

Avant que celui-ci chavire

Un laps de temps est nécessaire 

Pour extérioriser nos misères