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Par Cynderella le 25 Juillet 2012 à 19:26
Chaque soir dans son lit, seule vers minuit
Captive de l'insomnie, sans raison, elle s’ennuie,
Elle pensait encore revivre, une nouvelle vie
Très vite, elle oublie, puis retombe dans le vice
Chaque jour, elle enlace pourtant le vrai bonheur
Et reçois la chaleur d'un amour par erreur
Alors, pour châtier un excès de tristesse
D’une audace, conçue de joie et d’allégresse
Les bras autour du corps, elle s'éloigne encor
Avide d'affection, elle s’invente une histoire
Où ! L’amour enlace l’égoïsme et l’espoir.
Cette allégorie n’est plus sa vie. Que c’est drôle !
Elle se laissa ravir par l'astre argenté
Dans le velours apaisant d'une nuit d'espoir.
Exigeant trop d'amour d'un monde débraillé
Elle en sortit déçue. Pouvons-nous lui en vouloir ?
Sa faiblesse audacieuse la laissera blafarde
Inondée froidement par l'astre vulnérable
Alors seule sur son sort, chaque jour à l'aurore
Captive dès l’aube, elle pleure encore
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Par Cynderella le 22 Juillet 2012 à 15:59
Depuis longtemps, des nuits entières
Je livre combat, à mes pensées solitaires.
Dans mon corps taillé de guerrière
Retentit le désir d’un être de chair.
J’aurais aimé pouvoir te libérer
Une parcelle de mon corps assoiffé
De ce désir puissant qui m'enivre
Assaillant mon âme qui se grise
J'attendrai que tu glisses tes doigts
Sur mes jambes gainées de soie
J'aurais aimé toucher tes lèvres
Pour leur donner toute ma fièvre
Apposer ma bouche dans ton cou
Le cajoler comme du velours
Puis entrer dans ta forteresse
En y apportant mes caresses
En femme provocatrice
J’explorerais avec délice
Ce corps tant désiré
Je me ferai désirer
Pour gagner cette victoire
Il me faudra te combattre
Car l’envie de toi me poursuit
Sans cesse jour et nuit
Pour m’habiller de ton amour pur
Je deviendrai cette femme impure
Qui ôtera son armure
Dans l’enceinte de tes murs
Condamnée par mon désir au supplice
Initiée à ton plaisir, sans nul vice
Je libère mon corps à ton sacrifice
Afin que ma robe sous tes doigts glisse.
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Par Cynderella le 17 Juillet 2012 à 14:28
Les draps froissés c’est divin
J’en rêve chaque matin
Nos deux corps alanguis
Dans un dernier soupir
Poursuivant avec tendresse
Une ultime caresse
T’avoir tout près de moi
J’en rêve tant de fois
Peut-être deviendra-t-il réalité
Ce rêve si souvent brigué.
C’est au futur que j’aimerai
Te garder pour l’éternité
Aime –moi comme je t’aime
Et demain deviendra suprême…
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Par Cynderella le 17 Juillet 2012 à 14:20
Quels sont ses traits tirés
Sur ce visage bronzé
Serais-tu fatigué
T’aurais- je manqué
Moi ! Vois tu je suis éreinté
D’attendre chaque soirée
Scrutant mon portable
Dans l'attente d'un message
Le son de ta voix
N’arrive plus jusqu'à moi
Alors, dis-moi où étais-tu.
Toi que je ne vois plus
Tes yeux noirs cernés,
Confirment ! Que tu m’as trompée !
Encore, pour l’unième fois
Alors, raconte-moi
Où vit-elle donc cette nana ?
Celle qui t’a volé à moi
Durant des jours, des mois
Repars donc dans ses bras
Les miens sont bien trop las
Mon cœur trop fatigué
Épuisé, tu l'as tué
À l'égard d’attentes interminables
Il a donc rendu l'âme…
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