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Par Cynderella le 6 Novembre 2012 à 12:48
La peur
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Mon cœur se serre
La tristesse a fait son entrée.
Elle grandit, me fragilise
J'ai l'impression de tomber.
Les mots se paralysent.
Visage sans éclat ; fatiguée.
Pourrais-je faire encore avancer.
Réelle devient l'analyse.
Inutile de le cacher.
Je ne peux me soulager
Uniquement m'adapter.
Ou juste espérer.
Demeurer dans tes pensées !
C.L
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Par Cynderella le 27 Octobre 2012 à 21:39
Dans le désert de ma solitude
Loin de mon prince charmant
J’ai perdu l’habitude
Mon cœur s’ennuie à présent
J’ai besoin de ses lectures
De sa tendresse, de ces caresses
De ses baisers aussi volés
Sur le papier si bien rangé
D’eux, je ne puis me passer
J’avoue sans la moindre faiblesse
Loin de lui, tout n’est que détresse
Mon âme seule peut voyager
Au travers des souvenirs passés
Il reste prisonnier de mon cœur
À ses côtés, je ne connaissais pas la peur
Parfois, une larme s’égare
Glissant sur mon visage hagard
Atroce est ce manque de lui
Qui loin de moi est parti
Un jour de pluie en plein été
Depuis je n’ai jamais pu m’adapter
À ses absences prolongées
Seul, le désir de ses bras
M’aide à rester toujours là !
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Par Cynderella le 14 Octobre 2012 à 10:23
En secret, mon corps dérive
Seul, derrière ce visage au doux sourire
Le masque de la vie me préserve sans rien dire
Nul ne peut franchir le secret de la pensée
Ni mots ni gestes, rien ne peut le transpercer
Inerte sur ce lit, mon corps à la dérive
J’avorte mon présent, par des rêves singuliers
Images, visages, rêves inachevés,
L'esprit n'oublie jamais le visage du passé
S'enfermer, s'aveugler, s'attacher au futur
L'amour ne vieillit pas, il se vit sur mesure
Le corps est fait de chair, et de sang,
Nul ne peut souiller l'amour de deux amants
Le passé, le présent, le futur peu importe
La passion, le désir, nous séduit, nous transporte
Quelle est donc cette force intouchable
Qui nous pousse à vivre l’inconcevable.
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Par Cynderella le 29 Septembre 2012 à 12:22
Assise devant mon miroir
Je repense à toi
Notre rencontre imprévue
A mit mon cœur à nu
Ne pensant plus pouvoir aimer
Je suis restée dans mes pensées
Dès que ton regard sur moi s’est posé
Ma vie s’est métamorphosée
Depuis, je ne cesse de contempler
Le reflet d’une image, trop longtemps négligé
Pour toi, je prendrais soin de moi
De ce corps laissé aux abois
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