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Par Cynderella le 28 Novembre 2012 à 18:50
Ne crains rien
Donne-moi la main
Regarde au loin
Le soleil revient
Les nuages se divisent
Le soleil vers nous se dirige
Écoute les oiseaux chanter
Ils sont venus nous accueillir
De leurs mélodies exquises
Laissons au loin le fléau
Qui rend le monde sot
Si tu tiens bien ma main
Demain, nous irons plus loin
Vers un monde authentique
Si vraiment il existe
En espérant, trouver ce chemin
donne-moi la main et restons sereins
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Par Cynderella le 20 Novembre 2012 à 21:20
Tu étais ma lueur d'espoir,
Dans un monde où règne le noir,
Tu me laissais valoir,
Plus que ce que l'on me donnait à croire.
Tu étais l'étoile veillant sur ma vie
Ta voix me berçait chaque nuit
Tu faisais de mon monde une embellie
Fait de rose rouge, de chandelles et de bougies.
À mes yeux, tu incarnais la vérité
Le vrai visage de la discrétion,
Tendre et gorgé de passion.
Que ses instants tant vénérés
Peut-on faire durer encore l’espoir
Qui n'a point eu le temps d'entrevoir la lumière du jour,
Afin de nous donner le pouvoir,
De concrétiser le vrai visage de l'amour.
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Par Cynderella le 20 Novembre 2012 à 20:09
Je t'écrirais encore, sur du papier parfumé
Parfum que je porte toujours sur moi
Celui vaporisé sur mon corps dénudé.
Tout spécialement acheter pour toi
Le soir lorsque le sommeil m’envoute
En pensant à toi, je ferme les yeux
Rêvant que tendrement tu me touches
Dans ce grand lit soyeux
J'imagine tes mains frétiller sur mon dos
Tes lèvres glissant tendrement sur ma peau
Descendant lentement vers le bas de mes reins
M’offrant ce désir tant de fois convoité
M’abandonnant à toi, jusqu'au petit matin
Tout en conservant le gout de tes baisers
Afin que jamais je ne puisse oublier
Ses bonheurs intensément partagés.
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Par Cynderella le 17 Novembre 2012 à 12:16
Ce matin, dès mon réveil
À peine lever de mon sommeil
C’est à toi que je pense
Toi qui sans arrêt me hantes
Je contemple ma tasse de café
Et c’est ton image qui m’apparaît
Sous l'effet, je t'admire éveillée
Puis je me mets à envisager
Tu es tout près de moi
Tu me serres tout contre toi
Tu m’étreins tendrement
Puis tu m’embrasses amoureusement
Je sens monter en moi
Ce plaisir d’autrefois
Celui qui nous unissait tendrement
Lorsque nous étions amants
Que j'aurais aimé recommencer
Par toi, encore être aimé
Comme nous le faisions si bien
Sans crainte du lendemain
Soudain, le téléphone sonne
Et mon rêve s’évapore
Je rejoins la réalité
Je déguste mon café
Qui me semble bien amer
Après ce rêve imaginaire.
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