Toi qui embaumes mon cœur

Tu es la mélodie qui manquait à mes vers

Le prince charmant qu'attendait mon cœur solitaire

Tu es le héros de mes fantasmes d'enfance

La raison et l'essence de mon existence

Toi le gardien de mon âme l'empereur de mon cœur

La source de ma joie et de mon bonheur

Tu es l'objet de mes tourments et de mes regrets

L'âme sœur que j'ai recherchée depuis des années

Toi le seul homme que je désire et que j'aime

Celui qui m'inspire à qui je dédie mes poèmes

Pour toi, et près de toi, je veux vivre lutter et mourir

Avec toi, je veux partager ma route, mes rêves et mon avenir

Tu es celui à qui je voue mon être, mes jours et mes nuits

Tu resteras l'éternel et l'unique grand Amour de ma vie

Oui, c'est bien pour toi mon amour uniquement pour toi

Que j’écris aujourd'hui tout cela !

Toi qu’un soir un bout de la rue

Dans le noir j’aperçus

Ou es-tu dans ce vaste univers

À la recherche de l'être cher ?

Si tel est ton cas

Alors ta place est près de moi !

Mais qui est tu seulement !

Existes-tu vraiment ?

Toi ! Imaginé dans la nuit profonde.

Sauras-tu sortir de l’ombre

Un jour verrai-je ton vrai visage ?

Celui aperçu aux abords d’un village

Je désespère

Alors que faire ?

Attendre patiemment

Le retour du printemps

Escorté du soleil, sur cette place

Afin d’engendrer un miracle !

Séparée pour un petit moment

Loin de moi malheureusement

Tu ne peux sentir

Chacun de mes désirs

Subséquemment dans ma tête

J'imagine ce corps éphémère

J'imagine chaque caresse

Avec une infinie tendresse

De tes mains câlines

Mon corps, tu examines

Tu parcours mon cou, puis mes seins

Mon ventre et le creux de mes reins

Tu descends encore plus bas

Mon plaisir ne tient qu'à toi

Tu frôles avec douceur

Ce petit bouton du bonheur

Mon corps frémit

Mon désir s’assouvit

Le châtiment fut ce supplice

De me découvrir seule dans mon lit

Seule consolation

Ce rêve n’était qu’illusion.

Poème et création

Faite avec Florian

Mon petit fils

Au loin, elle observait

Un vol de grues passées

Tous deux étaient enlacés

Et heureux de s’aimer

Seule auprès de son cheval

Avec son vague à l’âme

Ses larmes glissées sur son visage

En ce plein été d’orage