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Par Cynderella le 8 Décembre 2012 à 21:32
Depuis quelques mois
Jours et nuits je penser à toi
Toi que je ne vois pas
Toi qui es si loin de moi
Je pense à toi encore une fois
Même si je n'ai pas le droit
Tu as bouleversé mon cœur
Avec ses mots écrits en douceur
Mais au moins le sais-tu !
Que pour toi je me suis corrompue !
Tout a explosé en moi
Surtout lorsque je pensais à toi
Même évanouie par mon désir
Tu restes mon unique fantaisie
Ainsi par une douce volupté
Cette inclination je l'honorerai
Par des mots doux sur mon clavier
Tes sentiments ne sont point réels
Seulement, ils sont artificiels
Toutefois, je continue à t’idolâtrer
Assidument, durant le temps où j’écrirai
Afin de te faire rêver
Avec ma plume et mon encrier.
De mes écrits flatteurs
J’émerveillerai ton coeur
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Par Cynderella le 8 Décembre 2012 à 17:27
Tu es l'étoile de ma vie
Sans toi, la vie me paraît morne et grise
Tu es le rayon de soleil, l'astre de mes nuits
Pense à moi mon amour, mon chéri
Je garde sur mon cœur ses bourgeons cueillis
Devenus une extase dans ma vie
Je vis une affection distançant l’utopique
Cela est devenu un rêve véridique
Toute cette tendresse que j'ai pour toi
Subsiste une destinée remplie de joie
Lorsque tu es loin de moi, j'ai peur
Mais dès que tu es près, tu réchauffes mon cœur
De toi à présent je ne puis me passer
Tu as fait naître en moi une infinie bonté.
Je t'aime un peu plus chaque jour
Et pour toi, je resterai toujours !
Cette étoile qui brille de mille feux
Et qui rend nos cœurs heureux
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Par Cynderella le 7 Décembre 2012 à 21:08
Au petit matin
Son cœur est serein
Puis dès qu’apparait la nuit
Il est de nouveau gris
Pas de mystère
Il faut s’y faire
Écoute ton cœur
Il est ta chaleur
Pensé que demain
Tout ira bien
Les chagrins d’amour
Ne dure pas toujours
Et pour mieux prévoir
Éloigne-toi du noir
Puis ouvre les yeux
Observe le ciel bleu
Fais de ta vie une fête
Sur cette terre éphémère
Profiter de chaque moment
Qui ne dure qu’un temps
Fait de ta destinée
Une oasis de paix
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Par Cynderella le 5 Décembre 2012 à 13:41
Après avoir subi les cauchemars les plus infâmes
Je ne savais que faire, lors de mes états d’âme
Merveille en son esprit splendide en cet abîme
Face à cet amour délicieux et sublime
Me laissant envahir un peu plus chaque instant
Sans chercher à combattre, ce désir persistant
Bercer de sa chaleur, il sait me faire vibrer
Dans des plaisirs torrides où il me fait sombrer
Brûlant de sa douceur, en son corps épuisé
De sa charmante audace, et de ses doux baisers
Il sait m’enivrer, pour mieux me captiver
Mon corps se laisse dorloter, manger dans ce plaisir
Les mots, reste silencieux, mais chante le désir !
C.L
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