J’aurais aimé 

Raconter mon rêve

Fut-il insensé ? 

J’aurais pu t’aimer

Durant cette trêve  

Mais avec le plus grand respect ! 

Mais tu as disparu de ma vie   

Dans les méandres de la nuit. 

Mon esprit vagabonde 

Explorant le monde

Le rêve souvent illusoire 

Intègrent d’étranges histoires. 

Faudra-t-il que je me satisfasse 

De ce rêve fugace. 

L’ivresse d’une nuit d’amour

Éblouie par de beaux discours.

C.Laurette

 

 

 

Regarde mes yeux

Ils te diront ! Eux.

Ce que je ressens

Même s'ils ne savent pas cependant

Lire tout au fond de mon cœur

 Ils te parlerons sans peur.

Ils se sont usés à trop larmoyer  

Mais ils savent pardonner 

Ceux qui les ont fait pleurer

C.Laurette

 

 

Je ne suis pas une poupée

Qui peut être manipulé à volonté 

Je suis faite de chair et de sang

Surtout, ne soyez pas méchant

J’aime rêver abondamment

Afin d’éviter mes tourments

J’écris mes quatre volontés

Sans examiner les côtés

Ma route ainsi est tracée

Il me faut donc la côtoyer

Éviter de me rendre vulnérable

Auprès de gens infâmes

La vie est ainsi faite 

Inutile de tourner la tête 

C.Laurette 

 

La véritable amitié !

 

 

Ne se dit point avec des mots

Lancer en pâture aux moineaux.

L’amitié c’est la confiance,

Qui nous relit face à l’indifférence

C’est une entente sans fausseté

Qui reste toujours d’actualité.

L’amitié est un trésor inestimable,

Qui mérite d’être conservé.

Non pas avec des mots banals,

Mais des expressions de sincérité.

L’amitié ne connaît aucune fausse note,

Seulement parfois, elle s'étiole.

Puis ! Lorsque celle-ci est terminée,

Plus d’échange à envisager.

Elle est détruite à tout jamais,

Celle que l’on vient de briser.

 

Si j’écris ce petit poème ! C’est pour elle

Pour cette amie bien rebelle

Je la voyais avec sincérité

Pourtant elle m’a effacée

Je suis déçue par son attitude  

Elle a détruit notre amitié, c’est une certitude

Aujourd’hui, c’est trop tard

Je ne veux plus la voir

Pour moi, l’amitié s’est sacrée

Avec elle, on ne doit point jouer! 

Si tu lis ses quelques lignes

Tu comprendras quelle fut ma déprime

Tu te reconnaîtras, j’en suis, certaine.

Par contre, il est inutile de revenir, tu m’as fait trop de peine

Je te laisse continuer ton chemin

Le mien tu l’as détourné un beau matin

Tu étais soi-disant à l’agonie

Alors que moi je m’enfonçais dans la folie

On s’est certainement mal comprise 

Trop tard, je ne veux plus de mauvaises surprises !

Tu aurais pu me contacter, ou m'appeler 

Mais tu m'as délibérément ignorée, je ne peux  donc te pardonner !

 

C.Laurette