• La nuit, je fais des vers

    Le jour, j’écris mes rêves

    Je lis de vieux bouquins

    Parfois tard jusqu’au petit matin

    Souvent lorsque minuit sonne au clocher de l’église

    Je médite, et bénis mes rêves Aphrodite

    Reliant dans l’azur les constellations

    D'architecture, d’ombre et de rayons.

    Mon esprit combine à l’infini 

    Une orée de tragédie. 

    Ainsi s’en vont mes jours 

    Assise au bord d’un gouffre

    C.Laurette

    Mes poèmes

     


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  •  

     À quoi bon autant d’ardeur, et d’emportement,

    Pour arriver si vite à tant d’abattements.

    Rugir dans un brasier aux sombres passions,

    Au milieu des fureurs et des ambitions.

    J’ai la confiance âpre et triste,

    C’est pour cela que je suis devenue cette fille.

    Qui parle confusément !

    J’ai commis des erreurs, des fautes trop hâtives,

    De mes éternels rêves, je reste possessive.

    Enchainée au firmament !

    Mes poèmes  

     C.Laurette


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  •  Impure, ébauchée, voire incomplète!

    Rien n’empêche qu’en moi reflète,

    L’abime ou mon âme survie.

    Dans le fond de ce maudit puits,

    Par moment en l’ombre qui me voile.

    D‘un cloaque noir tressaillit une étoile,  

    Avant de disparaitre sans l’ombre d’un espoir,

    En un céleste miroir ! 

    C.Laurette

     


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  • Ton sourire

    Je pâlis de tendresse éperdue

    Lorsque je viens en ce lieu solitaire

    À l’ombre d’un buisson perdu

    J’écris mes rêveries éphémères

    Je scrute la nature flamboyante d’allégresse

    Altière beauté d’une infinie ivresse

    Ma vie s’illumine d’un soleil d’espérance

    Balayant mes regrets de ses rayons ardents 

    C.Laurette


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