-
A quoi bon !
À quoi bon autant d’ardeur, et d’emportement,
Pour arriver si vite à tant d’abattements.
Rugir dans un brasier aux sombres passions,
Au milieu des fureurs et des ambitions.
J’ai la confiance âpre et triste,
C’est pour cela que je suis devenue cette fille.
Qui parle confusément !
J’ai commis des erreurs, des fautes trop hâtives,
De mes éternels rêves, je reste possessive.
Enchainée au firmament !
C.Laurette
-
Commentaires