-
Peur du temps qui passe
Juste cette peur de l’impasse
Parler pour ne rien dire,
Ainsi, comblez ce vide
Respirer, puis doucement avancé,
Pour ne pas être condamnée.
Observer, mais ne rien voir,
Ou ne voir que du noir
Écouter sans entendre,
Se laisser une chance
Parler, offrir des mots, se sentir bien
Respirer la rosée délicate du matin
S’émerveiller, par le chant d’un oiseau
Écouter le bruissement de l’eau
Ne plus se laisser glisser
Se retenir pour ne plus tomber
Ne plus se laisser aller,
Vers ce vide qui attire
Se retenir lorsqu’on vacille
Dans un ultime effort, s’accrocher
À cette force qui abandonne
Et qui jamais ne pardonne
Nos faiblesses humaines
Perdues dans cette haine.
4 commentaires -
(Texte écrit d'après la création de Maria )
Le loup est un animal protégé, qui fut chassé
Mais aux yeux des Indiens, l’animal est sacré
Le loup reste fidèle à sa compagne
Jusqu’à son dernier voyage
Les Indiens ont gardé avec lui une grande complicité
Vivant tel que lui dans les grandes vallées
De leur vie de nomade ils étaient semblables
L’indien vivait de cueillette, de pêche et de chasse
Quant au loup proche de la nature qu’il chérissait
Demeurait sans nul doute un Maitre de chasses incontestées
L’indien pour l’éternité a juré fidélité
Ce mode de vie, les rapprocher
Ils furent tous deux chassés
Par l’homme blanc de leurs contrées
Les loups et les Indiens sont encore réunis
Lorsqu’on parle d’eux encore aujourd’hui.
Quelles belles complicités et leçons de vie
Que devraient admirer les hommes amphigouriques.
3 commentaires -
Souvenirs torrides sous les tropiques
Que de moments d’amour insolites
J’ai gardé en mon cœur assouvi
Tous les instants magiques de ses nuits
En moi sommeil ses journées
Ses soirées sous les palmiers.
Enlacés, nous rêvions d’éternité
Comment oublier ses nuits, sous un vent d’alizé
Mes cheveux décorés de fleurs
Aux multiples couleurs
Sentait bon la vanille au matin
Et les effluves du jasmin
1 commentaire -
(Textes réalisé d’après les créations de « La fée de la forêt » .)
Qu’il fait bon se réchauffer au soleil d’Afrique !
Bien que cette apparence demeure utopique
Sous un soleil de plomb qui demeure authentique
On peut admirer les couchers de soleil qui éblouissent
Cette savane aux richesses multiples enivre
Les pachydermes se promènent tranquillement
Et les girafes en font tout autant.
Et ces femmes au teint hâlé et aux jambes fines
Cueille des fruits au goût parfumé des îles
Qu’il fait bon regarder la mer et ses vagues bleutés
Où se confondent le bleu du ciel et cette eau azurée
Femmes à la silhouette élancée
Nous t’envions sous ton ciel étoilé
11 commentaires