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Par Cynderella le 8 Mars 2012 à 15:40
Une énorme valise, du soleil plein les yeux
Et puis un paradis, perdu tout au milieu
Seuls le crient des oiseaux, nichés dans les thuyas
Égaillent sans retenus, notre premier voyage.
Osant espérer un peu de ce soleil
Pour vivre des vacances, aux pays des merveilles
Le temps incertain en avait décidé autrement
Il fallut attendre le mercredi suivant
Afin de jouir de cette luxuriante verdure
Qui malgré nos efforts, nous rendit incrédules
Par trop d’espoir affaibli
Je vécus dans ma mélancolie
Seule ma plume frétillante d’envie
Apte pour mon plus grand plaisir
Stipule avec ardeur ses moments de bonheur
Au demeurant tout au fond de mon cœur
Des souvenirs en ma mémoire cachée
Au milieu de caresses du cœur, et des pensées
M’abandonnant aux ultimes plaisirs de la chair
Qui rend l’âme et le cœur moins amer
Malgré le froid la pluie, les vents en continu
J’ai été confortée dans ce monde inconnu
À deux pas de chez moi, le ciel est resté bleu
Quant à mes loisirs, ils furent fastidieux
Je feuillette et relis mes sombres mots
En oracles rangés, ils décrivent mes maux…
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Par Cynderella le 8 Mars 2012 à 15:21
Les nuits dans mes délires
Ton image me poursuit
Dans le son de ta voix
C’est tes yeux que je vois
De tes écrits discrets, particuliers en sorte
J’adorais m’égarer, au milieu de tes proses
Viens ! Donne-moi la main, et partons tous les deux.
Vers l’oasis de paix, celui gardé par Dieu
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Par Cynderella le 7 Mars 2012 à 14:04
Femme-objet du désir
Femme, si souvent félicitée
Donner un plaisir sexuel
Aux hommes insensés
Sous leurs jupons de dentelles
Elles savent mieux que personnes
Derrière les portes closes
Assouvir les passions charnelles
Quant à l’amour, rempli de tendresse
Accompagné de caresses
Elles ne sauront vous donner
Même un simple baiser
Leur contrat stipulant
Ne jamais montrer leurs sentiments
Se délecter au fond d’un soupir
Oublier d’en souffrir
Des situations délicates
Elles en sortent des stigmates
Depuis la nuit des temps
Elles furent condamnées
À muter en transparence
Depuis qu’Ève a croqué la pomme
Le fruit défendu en sommes
Les femmes en ont perdu
Jusqu’à leur vertu
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