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Par Cynderella le 5 Février 2012 à 12:13
L’incertitude …
Rester dans l’incertitude
Imaginant la lune
Éclairant mon chemin
Celui parcouru en vain
J’attends dans le miroir
Un simple mot de toi
Que tu prennes ma main
Jusqu’au petit matin
Puis que tu me pardonnes
Cette mauvaise donne
T’avoir aimé trop tôt
Sans savoir que l’étau
Déchirerait ton cœur
Sans mettre de couleur
À présent, je suis lasse
Je m’abandonne aux astres
Dans un Nouveau Monde
Digne et sans honte
Au milieu des étoiles
De la céleste flamme.
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Par Cynderella le 3 Février 2012 à 13:50
Au fils d'un regard ...
Pâle est le ciel, douceur d'un voile
Au temps si bleu, je pense à toi
Mes pensées s'abandonnent aux heures
Qui me parlent d'amour en émoi
Les fleurs du soleil s'évaporent
Parfum si rose au fond du cœur
Et la mer frôle la roche encore
Pour imprégner l'onde bonheur
Amour, amour lent, tu me reviens
En ce beau temps qui me chavire
Au filtre d'un regard, le mien
Qui cherche le tien au souvenir
Que l'air du temps au beau me berce,
Langueur torride à mon âme flottant !
Que ta flèche d'amour me perce,
Frisson, tendresse au cœur aimant !
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Par Cynderella le 2 Février 2012 à 14:51
La lyre est mon âme …
Sous les sapins ornés de dentelles frivoles
Mon cœur bat la farandole
Dans les couleurs d’antan, mes souvenirs surgissent
Un oiseau aux couleurs panaché fait surprise
Habillé d’or et de lumière
Soudain, il m’éclaire
Tout au fond du jardin, la tête dans les étoiles
J’aperçois un pinson qui au loin me regarde
Sans l’apeurer, je marche !
Me frayant un passage !
M’avançant tout doucement ! je l’apprivoise
Comme il me sera doux lorsque ce sera toi !
Toute guillerette je suis !
Lorsque je vois qu’il ne s’enfuit
L’aurai-je adopté sans malice
Mon dieu, mais quel délice !
Je ne suis plus certaine
Alors j’ai de la peine !
Du haut de son vol sublime
Comme une invisible cime
J’entendis battre ses ailes
Sur un chemin d’étincelles
Comme il m’aurait été doux !
Qu’il s’attarde à mon cou
Mais déjà, il est loin
Emportant mon chagrin
Voulant me rassurer !
Qu’il ne soit point blessé
Mais par trop d’espoir affaibli
Je suis tombée dans ma mélancolie
Il est déjà onze heures
Je n’ai miette d’ardeur
Ma pauvre lyre est mon âme
Toi seul découvriras la flamme
Le fils de tes hasards est court, mais il est d’or !
Comme un prisme au soleil qui le dore…
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