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    Mes écrits :

     

    Mes écrits :

    Ils dévoilent en secret, les mystères de mon âme

     Coucher sur le papier, ils apaisent mes craintes

     Bien rangés, classifiés ils sont là et me calment

    Le soir au coin du feu, je lis, j’écris, je feinte

    Afin qu’ils m’apportent, un peu de réconfort

    De ses écrits, romantiques rêveurs et dols

    Ils dévoilent un plaisir, souverain exalté

    Ou il fait bon s’y perdre, sans trop s’y installer

    Certains prohibent ses sentiments inexistants

    En mes chagrins, mes joies, mes pensées du moment

    Flottant dans les airs, baignés d'illusions

    Dérobé toutefois sans perdre la raison

    Cherchant au fond de moi la raison de mes peurs.

    M’obstinant sans répit, cherchant aveuglément

    À trouver le bonheur irrémédiablement

    Par ses écrits parlant d’une même saveur

    Je reste là penchée, sur une page blanche.

    Qui veulent immaculé mes souvenirs d’enfance!

     

    Mes écrits :


     



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    Ma vie

     

    Ma vie est comme une rivière qui coule

    Parfois, elle se met en boule

    Enchantée je suis, le jour et la nuit

    Malheureuse lorsque j'ai des soucis

    Ma vie est parfois rose, parsemée de couleurs

    Comme l'arc en ciel, ou bien comme les fleurs

    Ma vie est faite de rêves, ou je me noie

    Lorsque dans ma tête, je broie du noir

    Les enfants qui jouent en cœur

    Eux me font penser au bonheur

    Dans leurs yeux, j’y vois des sourires

    J’y vois le bonheur, j’y vois l'avenir

    Ma vie c'est eux, ils me rendent heureuse

    Tout comme la rivière, qui chante une berceuse.


    Ma vie


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    Avec toi petit frère, je me souviens de tout !


    Ensemble sur ce chemin.

    Celui que nous empruntions

    Chaque jour, chaque matin

    Lorsque nous étions enfants

    Je me souviens de nos balades,

    Ce temps-là ! Qu’il fût formidable !

    J’aimerais tant recommencer sur cette terre

    Refaire ce chemin en arrière.

    Nous, nous amusions comme deux fous.

    Ce petit bois n'avait, aucun secret pour nous !

    Je me souviens du petit ruisseau,

    Ou tu jetais des pierres dans l’eau

    Faisant des ricochets sur les roseaux.

    En sifflant comme un oiseau

    Dieu que j'aimais te voir jouer

    Lors de nos promenades en forêt

    Dans ce géant vert magnifique

    Baptisé notre arbre magique

    Avec toi ; j’aimerais tant revivre.

    Revoir sur tes lèvres ce sourire

    Celui qui m’enchantait.

     Seule ! Je suis revenue explorer.

    Nos petits coins enchantés.

    Aujourd’hui, je t’ai appelé

    Seul, l’écho de ma voix.

    Ma répliquée au loin là-bas

    Toi tu n’es plus là !

    Tu étais si loin déjà

    Touchant un monde inconnu

    Fragments d’une obscurité défendue

    Tout à coup, j’ai ressenti une souffrance

    Elle provenait de ton absence.

    J’ai décidé de venir te voir

    Mais je n'ai pu t'apercevoir

    Seule, une photo incrustée dans la pierre lisse

    Souvenirs du temps jadis

    Sur cette pierre froide

    Étaient gravées tes initiales

    Les larmes ont inondé mes yeux,

    Lorsque j'ai admis, c’est adieu !

    Jamais je ne reverrai tes yeux bleus.

    Tu es parti vers d'autres cieux

    Tu es bien parti cette fois

    Vers ce monde que je ne connais pas

     Petit frère de là-haut, guident mes pas

    Qu’ils m’emmènent comme autrefois

    Lorsque nous étions enfants toi et moi !

    Vers ces prairies, où poussent les fleurs

    Où ; les papillons volent avec splendeur.

    Côtoyant les abeilles et les bourdons.

    Dans un nuage d’illusion

    Ne me lâche plus la main

    Montre-moi encore ce chemin

    Je veux croire en cette réincarnation

    Que l’on appelle résurrection

    Je garde en moi le bien

    Car tu restes mon ange gardien…


    (l)*♥*. .*♥*. .Cadeau reçu de mon amie HARMONIE-DAMOUR-2(l)


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    Quand deux beautés s'affrontent...

     

    Telle une étoile filante brillant au firmament

    Mes rêves m’entraînent au fils de la nuit

    M’emportant ainsi petit à petit

    À l’orée d’un temps jadis

    Suivant du regard ce chemin sinueux

    Dans toute sa splendeur m’enivrant peu à peu

    Je sombrai à commettre souvent l’irréparable

    De ses nuits enchanteresses vécues avec ardeur

    Telle une flamme portée en son étale

    Prisonnière et troublée, durant ce long sommeil

    Au petit matin, j’aperçus la lueur du soleil

    M’instruisant les débats de cette nuit enflammée

    Seules en mon âme, quelques fragments d’idées

    D’un monde d’artifice, d’une ampleur infinie

    Découvrant avec hargne un univers perfide

    Où seul subsiste le fait d’avoir appris

    Que la faute commise, conduite à la dérive  

    Joli bouquet pascal...



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