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Je suis vraiment désolée, pourtant j'avais bien commencé
Mais cela ne veut plus fonctionner correctement
Peut-être aurai-je plus de chanc demain matin
Je vous souhaite donc une douce nuit
Moi je file au dodo avec mon livre de chevet
Afin de me relaxer, car cela commence à m’énerver
Il me faut un temps infini pour laisser un simple commentaire
Je vous embrasse tout en vous disant à demain matin
Votre amie qui est désolée pour ce soir
Mais qui laisse tomber
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En ce début d’après-midi
Avec mes cannes, je suis sortie
Au bras de mon mari, qui me conduit
Vers le patio qui commence à fleurir
Les premières jonquilles nous sourient
Le camélia rouge avec le blanc rivalise
Le long de la pergola, notre rosier de Ronsard
S’intercale avec la glycine qu’il combat
Le soleil brille en cet après-midi de mars
Le vent chasse les nuages en nuée épars
Les oiseaux chantent leurs sérénades
Dans la haie qui leur sert de cache
Les papillons aux couleurs jaunes et blancs voltigent
Sur les ajoncs jaunes qui fleurissent
Quant aux abeilles sur le prunier, elles butinent
Nous affirmant que l’hiver s’enfuit
Passionnés devant autant de beauté attentivement
Nous admirons la nature qui se réveille tout doucement
Vive le printemps, qui reste notre saison favorite
Puisque la nature reprend ses droits sans limites.
Je vous souhaite à tous une excellente journée
Je vous envoie toute mon amitié et du soleil à volonté
Je garde les vingt degrés qui nous sont accordés
Et je vous envoie des baisers d’amitié
Votre amie !
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Elle doutait sur le parcours de sa destinée
Sachant pertinemment qu’il ne serait pas étoilé
Des épines jonchaient le long du sentier
Mais elle gardait en son cœur la simplicité
L’espoir guida sa vie vers un nouveau destin
Il lui suffirait d’emprunter le bon chemin
Le cœur lourd de promesses
Elle cherche avec ivresse
Un rayon de soleil
Pour éclairer son ciel
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Elle écrivait sa vie son passé
Afin de délivrer son âme torturée.
Sans crier gare et sans naître
Elle bascula dans les ténèbres
Et dut fermer l’accès à son cœur
Tout en continuant à vivre son leurre
Ayant bien compris cependant
Que cet aphorisme troublant
Se muter en tragédie indubitablement
Aussi, elle comprit brusquement
Qu’il était grand temps
De renoncer à comprendre
Et d’arrêter ici les écrits
Relatant ce qui fut sa vie
Puisqu’au-delà des mots
La vie devient tombeau
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