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Elle restait là, voulant oublier les jours, qui peu à peu s’enfoncent dans l'écume du temps.
Elle aurait tant aimé que sa vie soit différente, mais son destin fut tracé à sa naissance
De cette vie antérieure, elle ne garde au fond de son cœur qu’un lourd fardeau.
Qui s’évapore accompagné de mots, s’alignant sur le cahier de l’abime ,d’un jour nouveau !
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Elle souhaitait trouver
Des traces de son passé.
Le long des berges, elle flânait
Le temps parut, avoir tout zébré.
De cet endroit qu’elle avait rayé de sa vie
Le cœur avide d’un passé illogique
Elle aurait aimé voir rejaillir
Un halo de lumière dans ses souvenirs
Mais tout avait disparu
Sous cette frondaison ardue
Seule estampille de son destin
Tirer un trait sur ce passé défunt.
C.L
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Seule debout au fond du jardinet
Contemplant cette nature confuse,
Où se dressent des monceaux de statues
Écume du passé, dissipé dans les brumes d’été.
Le passé rejaillissait tel un vieux film en noir et blanc,
Remémorant ses joies et ses peines d'antan.
Une fenêtre sur la cour désigner,
De géants démunis, de leurs habits dorés
Nul n’aurait su dévoiler, se réel dénuder
Se laissant emporter par le souffle du passé.
Seules quelques violettes osaient percer cet endroit obscur,
D’où s’évaporer la nature ?
Laissant à cette femme un goût amer,
De son passage éphémère sur terre.
C.L
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Lorsque l’ironie est amère,
Qu'elle se trompe d’amis.
Il faut évaluer l’éphémère,
Sur le seuil de l’infini.
Laisse ton âme s’emplir
D’une joie cristalline
Parsemé de petits bonheurs
Qui agrémentera ton cœur.
Admire le ciel étoilé
Il communique avec un astre nimbé
Lui prodiguant une telle beauté
Que seule une âme pure, peut observer.
C.L
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