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Par Cynderella le 2 Mars 2013 à 14:14
Seule debout au fond du jardinet
Contemplant cette nature confuse,
Où se dressent des monceaux de statues
Écume du passé, dissipé dans les brumes d’été.
Le passé rejaillissait tel un vieux film en noir et blanc,
Remémorant ses joies et ses peines d'antan.
Une fenêtre sur la cour désigner,
De géants démunis, de leurs habits dorés
Nul n’aurait su dévoiler, se réel dénuder
Se laissant emporter par le souffle du passé.
Seules quelques violettes osaient percer cet endroit obscur,
D’où s’évaporer la nature ?
Laissant à cette femme un goût amer,
De son passage éphémère sur terre.
C.L
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Par Cynderella le 1 Mars 2013 à 15:09
Lorsque l’ironie est amère,
Qu'elle se trompe d’amis.
Il faut évaluer l’éphémère,
Sur le seuil de l’infini.
Laisse ton âme s’emplir
D’une joie cristalline
Parsemé de petits bonheurs
Qui agrémentera ton cœur.
Admire le ciel étoilé
Il communique avec un astre nimbé
Lui prodiguant une telle beauté
Que seule une âme pure, peut observer.
C.L
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Par Cynderella le 13 Février 2013 à 22:30
Mon amour !
En ce jour symbolique
Je t’avoue en lyrisme.
Dans ce décor douceur,
Je t’offre mon cœur.
Je dépose un baiser,
Sur tes lèvres sucrées.
Je t’offre mon corps,
Ainsi jusqu’à l’aurore.
Toi qui fais de ma vie,
Une île, un paradis !
Je t’aime !!!
20 commentaires -
Par Cynderella le 25 Janvier 2013 à 20:19
Ce n’était pas la richesse entrevue
Qui m’attirait, aussi souvent
Mais les couleurs du temps
J’appréciais les longues avenues,
Ornais de majestueux jardins de fleurs
Ils faisaient battre mon cœur.
Flânant un soir d’été,
En plein mois de juillet
La solitude étant constante
Je prenais donc mon temps.
Je dévalais les rues sombres
En espérant ta rencontre
C.L
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