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Par Cynderella le 7 Avril 2013 à 15:52
À l’aube qui luit
Au soir qui flamboie
Le cœur surpris
L’âme emplie de joie
J’écoute, le murmure du vent
La nuit, endors les champs
L’astre luit, l’eau coule
La nature dans un souffle
A verdi la branche qui pousse
Le cœur pensif, je chavire
Dans une invisible lyre…
Laurette
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Par Cynderella le 7 Avril 2013 à 15:03
Écoute !
*
Le souffle du vent qui divertit
Le sourire de la poésie
Le bleu du ciel, le blanc de l’onde
Les belles choses de ce monde
Écoute, les soupirs de mon cœur qui chancelle
Écoute ta conscience qui te rappelle
Que notre amour ne sera point éternel
Il suffit d’une mauvaise étincelle
Pour qu’à jamais il s’éteigne
Aux candélabres suprêmes
C.Laurette
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Par Cynderella le 7 Avril 2013 à 14:59
Peu m’importe
*
Peu m’importe que la nuit tombe
Semblable au plafond d’une tombe.
Peu m’importe que je m’endorme
Dans la brume épaisse et sans forme.
Peu m’importe les heures nocturnes
Des ombres éparpillant leurs rancunes.
Peu m’importe leurs plis funestes
Qui fait pensait aux ténèbres.
Peu m’importe la vie intime
Lorsque dans tes yeux j’y vois un sourire infime.
Peu m’importe les larmes obscures
Lorsque j’entends ta voix impure.
Me dis d’une voix calme et fière
Que pour toi, je ne suis que lumière !
C.L
3 commentaires -
Par Cynderella le 19 Mars 2013 à 16:46
Le printemps clos l’hiver ;
Ce grand mendiant solitaire !
Au bord du chemin caillouteux,
Le ciel se pare de bleu.
J’observe en silence,
Le vert, qui devient abondance.
Le saule, à morne posture
Se tait, devant dame nature.
Tout rit, tout chante ; c’est la fête ;
La beauté des fleurs semble faite.
De l’infini que nous voyons,
Avec la candeur des rayons.
Dans la lumière du printemps,
J’observe et j’entends.
Le séraphin a l’œil pur,
Où se mêle un profond azur ?
Au loin siffle un merle noir
Nanti d’une perle de soie.
Chasseurs de rêves éphémères
Il engloutit bien des chimères.
Jouissant durant les beaux jours,
Parmi les roses chantant l’amour.
Je scrute l’abeille faisant l’aumône
Au cœur d’une anémone !
Le vol d’un papillon qui voltige,
Ainsi de tige en tige.
Il faut mettre de l’amour sur cette terre,
Ou tout n’est que mystère.
Écarter un peu ce voile ;
Afin d’apercevoir l’étoile,
D’un tout nouveau printemps,
Qui débutera dans peu de temps !
Laurette
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