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    A l'aube ...

     

    À l’aube qui luit

    Au soir qui flamboie

    Le cœur surpris  

    L’âme emplie de joie

    J’écoute, le murmure du vent

    La nuit, endors les champs

    L’astre luit, l’eau coule  

    La nature dans un souffle

    A verdi la branche qui pousse

    Le cœur pensif, je chavire

    Dans une invisible lyre…

    Laurette

     


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  • Ecoute

    Écoute !

    *

    Le souffle du vent qui divertit

    Le sourire de la poésie

    Le bleu du ciel, le blanc de l’onde

    Les belles choses de ce monde

    Écoute, les soupirs de mon cœur qui chancelle

    Écoute ta conscience qui te rappelle

    Que notre amour ne sera point éternel

    Il suffit d’une mauvaise étincelle

    Pour qu’à jamais il s’éteigne

    Aux candélabres suprêmes

     

    C.Laurette 

     

     


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  • Peu m’importe !

    Peu m’importe

    *

    Peu m’importe que la nuit tombe

    Semblable au plafond d’une tombe.

    Peu m’importe que je m’endorme

    Dans la brume épaisse et sans forme.

    Peu m’importe les heures nocturnes

    Des ombres éparpillant leurs rancunes.

    Peu m’importe leurs plis funestes

    Qui fait pensait aux ténèbres.

    Peu m’importe la vie intime

    Lorsque dans tes yeux j’y vois un sourire infime.

    Peu m’importe les larmes obscures

    Lorsque j’entends ta voix impure.

    Me dis d’une voix calme et fière

    Que pour toi, je ne suis que lumière ! 

    C.L

     

     


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  •  

     

    Le printemps clos l’hiver ;

    Ce grand mendiant solitaire !

    Au bord du chemin caillouteux, 

    Le ciel se pare de bleu.

    J’observe en silence,

    Le vert, qui devient abondance.

    Le saule, à morne posture

    Se tait, devant dame nature.

    Tout rit, tout chante ; c’est la fête ;

    La beauté des fleurs semble faite.

    De l’infini que nous voyons,

    Avec la candeur des rayons.

    Dans la lumière du printemps,

     J’observe et j’entends.

    Le séraphin a l’œil pur,

    Où se mêle un profond azur ?

    Au loin siffle un merle noir

    Nanti d’une perle de soie.

    Chasseurs de rêves éphémères

    Il engloutit bien des chimères.

    Jouissant durant les beaux jours,

    Parmi les roses chantant l’amour.

    Je scrute l’abeille faisant l’aumône

    Au cœur d’une anémone !

    Le vol d’un papillon qui voltige,

    Ainsi de tige en tige.

    Il faut mettre de l’amour sur cette terre,

    Ou tout n’est que mystère.

    Écarter un peu ce voile ;

    Afin d’apercevoir l’étoile,

    D’un tout nouveau printemps,

    Qui débutera dans peu de temps ! 

    Laurette 

    Tuto ICI  


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