La passion, née sous vos doigts agiles

Le corps frémissant, de caresses faciles

Tendres et brutes à la fois, le feu a eu raison,

De ces amants timides, oubliant la raison.

Comme vous y allez ! Monsieur

Tenez, voici, les fleurs de mon cœur

Celles qui en silence,  tissent de leurs feux

Des milliers de couleurs !

Offert, vous m’avez en secret, peu importe l’endroit

Bercée de ses câlins, tendres et agiles à la fois

Que j’en reste en émoi, sous des reflets de soies

La courbe de mon cœur dessine en mémoire

Votre regard si fort, que j’ai encore de vous

La sensation bizarre, que vous êtes avant tout

Un gentleman ! Monsieur…

Alors, permettez-moi ce vœu !

Ne déchirait point ! De vos deux mains blanches

Un si beau présent, qui peut en avalanche

Devenir un amour simple sans cohérence

Aux yeux des amants, qui cherchaient en errance

Juste un peu d’amour ;

Pour la fin de leurs jours.

À la tombée du jour, lorsque la nuit prend son rôle

Le monde s’endort, jusqu’au  bout de l’aurore

Les étoiles illuminent le ciel, une à une.

Le soleil se couche laissant la place à la lune.

Le monde tourne à l’envers.

Un être s’endort, un autre s’éveille.

Dans le silence d’un ciel étoilé,

Douce nuit, tu nous permets de rêver.

Oubliant ainsi, le temps d’une nuit

Tous nos soucis.

Je remercie infiniment tous ceux qui passent me lire

Je ne réponds pas forcément à tous en même temps

Mais je ne vous oublie pas pour autant

Sachez que dans mon cœur luit une étincelle

Qui pour vous reste éveillé tout au fond de mes pensées

Je vous souhaite une excellente semaine

Je vous envoie mes plus douces pensées d’amitié

Bisous à très bientôt votre amie 

De petits poèmes  laissé sur la toile pour vous remercier

 Sachez que je ne vous oublie pas malgré mon absence

Je remercie ceux qui viennent me rendre une petite visite

J’avance dans mes écrits même si j’ai pris beaucoup de retard

Je suis heureuse, car durant mes pauses j’écris quelques poèmes

Je vous souhaite une excellente semaine et une douce nuit

Moi, je file dans les bras de Morphée, car ce soir je suis fatiguée.

à très bientôt votre amie

Je ne veux plus pleurer

Je préfère m'effacer

De mon amour, je t’ai comblée

Mais à présent, je suis attristée

Moi qui t'ai tout donné

Mon amour et mon amitié

Vois-tu aujourd'hui

J'ai le cœur meurtri

De m’être sentie trahie

Par des mots d'amour

Alloués sur du velours

De simples mots

Inégal au tempo

Lâchés et abusées

Parmi mes pleurs

Elles firent mon malheur

Même brisée

Je ne peux t’oublier

Malgré mes douleurs

Je t’aime, quelle erreur !