(Textes réalisé d’après les créations de « La fée de la forêt » .)

Qu’il fait bon se réchauffer au soleil d’Afrique !

 Bien que cette apparence demeure utopique

Sous un soleil de plomb qui demeure authentique

On peut admirer les couchers de soleil qui éblouissent

Cette savane aux richesses multiples enivre

Les pachydermes se promènent tranquillement

Et les girafes en font tout autant.

Et ces femmes au teint hâlé et aux jambes fines

Cueille des fruits au goût parfumé des îles

Qu’il fait bon regarder la mer et ses vagues bleutés

Où se confondent le bleu du ciel et cette eau azurée

Femmes à la silhouette élancée

Nous t’envions sous ton ciel étoilé 

( Poésie écrite selon la création de Nadouche)

Je sais que ce n’est qu’un conte en soit

Vous ! Ma jolie fée et vos ailes de soie.

Fragile créature en qui je revivais

Rose et candide aux grands yeux indiscrets.

Lorsque je pense à vous, au bord de mes lèvres

Un sourire apparaît sur un visage fier

Je ne dis pas un mot, je regarde toujours

Je devine cachés sous votre fin corsage vos frêles atouts

Un corps brûlant de fièvre brodée de mèches folles

Je sens naître un baiser sur vos lèvres velours

Et mon regard se perd en une apothéose 

Pieds nus, dans l’herbe fraîche

En ce bel après-midi de mai.

Apparut un ange de sagesse

Dans une robe de princesse.

Tout en chantonnant ;

Caressant le chaton noir et blanc.

Sur sa robe de dentelle   

Des nœuds roses d’aquarelles  

Se balancer au vent léger.

Sur ses cheveux blonds bouclés

On pouvait y distinguer

Quelques fleurs parsemées.

Sur un rond de pierre coloré

Entourée de fleurs par milliers.

Une branche de lilas parfumé

Sur ses genoux, trôner.

Belle et douce créature

Naissante d’un ciel d’azur.

Image de princesse enluminée

Sortie droit d’un conte de fées.

D’un beau livre d’images

Contes pour enfants sages.

Quand cessera donc cette pluie

Qui m’empêche de voler vers Tony

Mon ami m’attend pour jouer

Au royaume des fées

Ne vous moquez pas de moi

Je suis prisonnière dans ce bois

Sous limbe à l’abri je réfléchis !

Comment m’échapper d’ici ?

Pourquoi suis-je venue jusqu’ici !

J’aurai dû écouter, mon ami

Là-bas, aucun danger ne me guette

Ici, j’ai perdu mes points de repère

Il me faut donc attendre la fin de ce déluge

Pour m’enfuir vers mon refuge

Dès que la pluie aura cessé, 

Je disparaîtrais vers mon havre de paix

Je vous abandonnerai humain

Avec vos peurs et vos chagrins

Ce poème je l'ai écris en allant chez mon amie Lady-darklight

 Suite à une création de ( Cindy Grundster )

 Dans l’écriture, tout est sujet à poésie

 Il suffit de bien regarder un sujet et s’est parti

 Un peu d’imagination avec une pointe d’illusion

 Et tout se dessine à la perfection

Je lui ai promis de faire de la poésie

Avec ses deux sujets que sur son blog elle a mis

Ma bête noire encore aujourd’hui

Ce sont les fautes de grammaires et d’orthographes

Eh oui les leçons que j’ai manquées lorsque j’étais enfant, elles sont là!

J’ai beau m’accrocher, j’en laisse passer 

Avec regret