-
Par Cynderella le 17 Avril 2014 à 22:20
Si je n’écris point des choses gaies
Mon moral d’une douleur est imprégné
Le reste ne peut être parfait
Pourtant j’essaie de m’y employer
Mais mon esprit inlassablement dérive
Vers des vallons d’image insolites
Il me faudra du temps pour m’adapter
À ce rejet qui me fut imposé
Je n’ai même plus envie
De sourire aujourd’hui
Et le pire c’est que je suis vidée
Vidé de toutes mes pensées
Plus envie de rien
Ou me mènera ce chemin ?
J’espère retrouver un peu d’espoir
Au fond d’un vieux tiroir
Ou bien dans mon grimoire
Que je feuillette le soir
C.Laurette
12 commentaires -
Par Cynderella le 17 Avril 2014 à 21:20
Si certains d’entre vous ont deviné
Que mon cœur triste saigné
Je ne peux que leur révéler
Ceci est une triste vérité
Mais je ne puis m’abstenir d’écrire
Ce qui est de loin ma survie
Sachez que je ne vous délaisse pas
Mais le cœur n’y est pas
Alors, lisez mes écrits,
Ils seront certainement suivis
Par d’autres, encore plus durs
Mais toujours dans l’absolu
C.Laurette
1 commentaire -
Par Cynderella le 17 Avril 2014 à 20:21
De sa plume, elle s’exprime
Fuyant ainsi le fond de l’abime
Cette arme lui semble utile
Pour lui donner l’envie
De continuer à vivre
Dans le monde où elle vit
Pourra-t-elle encore un jour
Parler tout simplement d’amour
Aujourd’hui, son cœur saigne
Inutile de chercher ses peines
Elles les cachent dans des mots
Elle les écrit recto verso
C.Laurette
votre commentaire -
Par Cynderella le 15 Avril 2014 à 22:55
Les yeux rivés devant sa page
Cette mère coule dans ce naufrage
La chair de sa chair la tue
Dans un cri d’angoisse absolu
Les paroles sont des lames affutées
Qui tranche tel un couperet
Réduisant son cœur et son âme
En un brasier de flammes ardentes
Les pleurs sont devenus incapables
De dissiper cet épais brouillard
Elle reste seule dans cette angoisse
Qui l’entraîne vers un profond désespoir
Ses paroles dites avec rage
On eut raison de mon mental
Ce soir, elle n’espère plus de réconciliations
Pourtant, c’était devenu sa mission
Cela fut un véritable échec
Dans les remous de ma faiblesse
Une gifle aurait dû jaillir de sa main
Pour le non-respect qui fut le sien
Elle, qui lui a donné la vie
Ainsi que ses jours et ses nuits
Au prix d’énormes sacrifices
Comment à telle oser l’insulter ainsi
Devant des gens inconnus
Mon Dieu quelle bavure !
Comment peut-on accepter que son enfant ?
Ose dire en face ! Je n’ai plus de maman
Tu ne fais plus partie de ma vie
Entre toi et moi, tout est fini.
Une mère n’est pas un petit ami
Mais celle qui a donné la vie !
Le respect doit rester immuable
Même après un mauvais passage.
Comment arrivera-t-elle à pardonner
Le mal qu’il lui a était infligé
Par cet enfant aimé
Durant tant d’années
Pour une somme d’argent
Qui fut refusé promptement
L’argent est devenu le diable
Détruisant un amour véritable
Entre une mère et sa fille
Que reste-t-il à cette mère éplorée
Autre que ses yeux pour pleurer
Son enfant ne voyant que le vice
De la monnaie dépensée sans compter.
Quelle valeur peut avoir l’argent
Entre le cœur et les sentiments ?
C.Laurette
4 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique