• Le temps des souvenirs

     

     

     

     

    Le temps des souvenirs

     Que de souvenirs

    Lorsque je relis

    Tous nos mots écrits

    Mélange de passions

    Dévorés tel un fruit

    Avide d’émotions

    Mais, tout comme nous

    Ils ne respirent plus

    Ils se fondent, déchus

    Comme notre amour

    Qui perd sa couleur

    Petit à petit, il se meurt

    Qu’aurai-je donné

    Pour pouvoir continuer

    Cette aventure,

    Si belle et si pure

    Mais la beauté des choses

    Sont comme les roses

    Elles se fanent, lorsqu’on les oublie

    Elles se meurent ainsi

    Trop longtemps, attendu

    Dans ses moments perdus

    Il ne reste que les souvenirs

    Ne sachant mourir

    Avoir aimé jusqu’à la folie

    Jusqu’à en perdre l’appétit

    Ne plus dormir la nuit

    Attendre seulement un écrit

    Encore aujourd’hui

     Le cœur s’affole

    Lorsqu’il relit

    Que cela est drôle !

    Je pense que rien n’est fini

    Reste encore une petite étincelle,

    Qui au fond de nous s’éveille

    Nous condamnant à nous aimés

    En silence pour l’éternité… 

     

    Le temps des souvenirs

     

    Le temps des souvenirs

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  • Commentaires

    6
    Mercredi 11 Avril 2012 à 20:29

    Bonsoir Laurette


    Un écrit parfait ou chacun peut voir un peu son histoire


    car qui n'a pas été blessé  dans la vie...


    Prend soin de toi Laurette et libère toi de tes maux


     une fois pour toute pour mieux avancer vers ton avenir. 


    gros bisous tendresses 

    5
    Mercredi 11 Avril 2012 à 20:01

    Hooo adorable ton chien! moi j'adore les animaux ... eux pas de trahison, pas de mensonges ... que du bonheur!

     gros bisous et belle soirée ... je vais me rposer a demain

     je t'embrasse fort , prend soin de toi

     

    4
    Mercredi 11 Avril 2012 à 19:07

    sorry hier très fatiguée ...j'ai un voisin bruyant la nuit et la police ne bouge pas ...et ce matin migraine .....

    y'a des jours ou je réve d'ile desserte! ...

     

    fond d'ecran 1
    De terre et de bois


    De terre et de bois, algues entortillées, pampres et réséda
    Au rire de la lune l’écho de la carapace d’ambre
    Ecoutille amarrée à l’aigue-marine
    Lamparo flottant sur la mer, écorchure brune.
    Quand vient ta présence à l’angle du canevas
    Je me tisse comme l’érable noueux
    De ce tapis de haute laine dans l’atelier sombre
    Tout me lie à toi, la dentelle du jour,
    le fil de trame de l'heure
    Les pampres aromatiques à la morsure du froid.
    Sous la tonnelle de fleurs acides
    Ta main me retient, m’immobilise, m’initie à moi-même
    Ta main qui me forge, fil de hampe tendu
    Dans le soir qui jamais ne se dévêt.
    Je m’agrippe à toi comme une haie vive
    Je reste accroché comme l’oiseau au fil nu
    Dans le canevas de tes jambes qui s’étirent sur le tapis de
    haute laine
    Velours de ta peau, dentelle de tes caresses à jamais
    renouvelées
    Le réséda monte de ta gorge, il démâte et se dénoue
    Il suit l’axe ascendant pour s’épanouir en couronne
    A la lisière de ton regard abandonné.
    L’accord de toutes les cordes de la harpe à la fois
    De mille gestes ensemble qui effleurent ton corps
    J’en écoute les ressacs sur le pas de la porte
    Où le réséda s’écoule en grappes lourdes et sensuelles.
    Tout de senteur, tout de sève, la maison s’ouvre
    Dans ce voyage aux mille irisations
    Qui me prolonge en toi, corbeille offerte de senteurs
    Dans cet espace de regards enrubannés, gorges embaumées
    Où le dahlia et l’ancolie butinent sur tes lèvres.
    Tu es de jade transparente, pierre blessée, écorchée
    Tu es de sable et d’eau, tu coules dans ma main
    Mon corps te capte, torrent de feu, volcan qui tressaille
    Et collines ondulantes au fond de la vallée.
    J’aime tes soupirs tendus de mains qui tricotent la laine
    soyeuse
    Traces de baisers sur ma bouche comme des fleurs ennoblies
    Visage emmuré d’extase au cadran solaire
    De l’abeille qui danse sur la ruche qui déborde de miel.
    Tu es le spasme de la vague mourante, étale
    Qui irrigue la plage luisante, étendue et lasse
    Où le vent n’est pas plus qu’un souffle qui me porte
    vers ton être
    Mains qui me retiennent et m’attachent au bastingage.
    Je suis de toi, je suis de tes mains qui me pétrissent
    De tes lèvres qui me disent
    De tes seins qui me nourrissent
    De tes envies qui nous unissent.



    Jean CAELEN
    3
    Mercredi 11 Avril 2012 à 14:52

    coucou laurette merci pour ton message . je vois que toi aussi c'est pas la grande forme et surtout quand on souffre du dos pas facile les voyages en voitures . j'espère qu'aujourd'hui cela va mieux . chez nous la pluie le soleil le vent sont au rendez vous les giboulés de mars en retard . très beau poeme que j'ai pris plaisir à lire . merci de ce beau partage . je te souhaite une très belle journée . kiss de kellie

    2
    Cigalix
    Mercredi 11 Avril 2012 à 14:07

    Bonjour ma laurette

    je passe te souhaiter un bon après midi et admirer tes beaux textes!

    j'ai vu ton toutou chez des amies il est vraiment superbes!

    bon après midi

    Gros bisous

    Sophie

    1
    Mya mon bébé Profil de Mya mon bébé
    Mercredi 11 Avril 2012 à 13:51

    merci lolo pour partager avec nous tes jolis poèmes 

    trop beau ton loulou cheveux aux vent mdr!!!

     je vais un peux mieux que hier 

     mais je continue mes médocs sinon c'est de retour

     repose toi au lieu de courrir  c'est pas bon pour ton dos 

    gros bisous lolo et a plus tard  ton amie mimi



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