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Durant mes heures sombres
J’y pense souvent, dans mes heures funestes
Près de mon flambeau au milieu des ténèbres.
Je vois le côté monstrueux, de ses révolutions
Faudra-t-il encore que nous les subissions ?
Comment vont-ils jouer, encore avec ses lois
Lorsque le pauvre lui,restera aux abois
Ne vous endormez pas ! Travailler sans relâche !
Les grands ont leurs œuvres, et les petits leurs tâches !
Il arrive parfois, dans le siècle où nous sommes
Qu’un vent de malheur soulève ainsi les hommes
Vous n’avez pas de foi, vous n’avez pas d’amour,
Chez vous, rien n’est encore éclairé à ce jour !
Faute de lumière, on tâte avec la main
Les conseil de l’âme, pour guider nos chemins !
C.Laurette
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Commentaires
Bonjour Laurette, comme c'est beau et bien dit : je t'envie ce talent.
bon dimanche