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La politesse
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La politesse n'est point une obligation
Cependant celle-ci reste une éducation
Que l'on enseigne étant enfant
Les dons de cette bienséance
Nécessite un accord sans restriction
Également par les adultes
Ceux qui restent dans l'abnégation
Sont des gens d'une politesse obtuse
Gardons donc un peu de plénitudes
Dans ce monde ou l'indifférence, reste assidue
C.Laurette
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Si !
Si j'ai repris ma plume
C'est dans un but précis.
Celui de chasser l'ombre obscure
Qui envahit ma vie.
Je veux changer d'écrits!
Parler avec plus de ferveur,
Pour égayer mon cœur.
Donner un second souffle,
À mon monde de déroute .
Je veux parler du temps,
Ainsi que de beaux d'amants.
Acquis dans mes livres,
Le soir au fond du lit .
Au travers de mes lectures,
Soubresauts d'énigmes pures.
Oublier pour un moment,
La violence de mes tourments.
Celles qui m'ont rendue malade,
Me maintenant dans un oracle,
De dégout et de haine exécrable !
Aussi ,aujourd'hui je veux tourner la page...
C.Laurette
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Océan ; ta grandeur égale ta splendeur...
En vagues successives chahutées par le vent .
Tu roules sur le sable , en beaux reflets d'argent
D'un ruban d'écume, modifié par le vent
Le soleil transforme ses kyrielles en diamants
Horizon sans fin aux nuances cristallines
Contrastant un ciel d'azur, en couleurs angélique
En ce monde sans pareil, mouvant et merveilleux .
Toi ;océan ! Sans cesse, tu éblouis nos yeux
De ton univers caché
Tu gardes bien des secrets
Méconnus par l'homme à ce jour
Lui qui te convoite sans détour
Cependant, tu lui montres tes valeurs
Qu'il emploie sans retenue, oubliant ta splendeur
De son imprudence souvent il paie le prix
Au péril de sa propre vie
Il recherche en toi un monde de liberté
Dans la beauté de tes eaux profondes
Sur tes plages de rêves, de plaisirs, tu l’inondes
Comment peut-il oublier ta beauté ?
Souvent, tu montres un doux visage
Qui n'est autre qu'un simple mirage
Tu gardes pour toi tes secrets et bienfaits
Afin que l'homme en oublie tes attraits
C.Laurette
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Billet de femme !
Comment reconstruire ta vie ?
Toi dont le front a encor pâli.
De ton enfance qui t'a suivie ;
Tu ne gardes que de sombres souvenirs.
Vouant aux forces de ta puissance
Pour retrouver un calme essor
Dans les parfums d'innocences
Tu laisses juste épanouir ton sort
Veux-tu remonter le bel âge ?
Afin qu'il dure davantage ?
Crois-tu encore en l'ignorance
Qui si souvent te déprima !
Aujourd'hui, tu es plus clairvoyante,
Que le temps de ses années de frimas ?
Reprends donc en main ta destinée,
Puis cesse donc un peu de te lamenter
Tu ne changeras point le monde
Même avec une voix profonde !
Garde ton livre entr'ouvert
Afin d'exploiter cette verve ;
Celle, qui souvent décompresse
Ton mal de vivre et ta détresse.
Lampe orageuse, allume toi !
Fais en sorte que s'éloigner de moi
Cette amertume sceller en mon âme
Cueillie ; par de nombreux jours d'orage...
C.Laurette
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