Je suis navrée, mais je ne peux venir vous voir

Je ne sais si c’est le site qui fait cela, mais je ne peux pas tout reste figé !

Alors je vais filer au dodo, car je ne suis pas en forme 

Je suis allée chez le médecin ce matin, car cela n’allait pas du tout

J'ai eu une journée affreuse, j’ai eu six malaises vagaux

Alors je suis très fatiguée, je préfère partir au lit me reposer

Je vous embrasse et vous dis à demain, si cela veut bien fonctionner

Et si mon état de santé s’améliore

Bisous , votre amie

Laurette 

L’amour ! 

Amour est un mot ! Fort

Que l'on trouve près de l'être cher

Celui, qui fera des efforts 

Un jour, il sera comblé  

Ce mot donne un sens à la vie

Détourne les jours noirs et les jours gris

L’amour c'est comme la guerre

Difficile à gagner, mais facile à perdre

Par contre impossible à oublier

Pour celui ou celle qui l’aura gouté

L'amour c'est le reflet

D’une âme sans secret 

Savoir conserver l’être aimé

Tout en lui consacrant sa vie sans regret

Découvrir avec étonnement

Que l’on peut aimer éperdument

Et que cela peut durer longtemps

Suffit de le vouloir vraiment !

La poétesse ! 

Elle sort des mots de sa tête

Puis écris des versions complètes 

Des textes de toutes sortes.

Générant son énergie en prose

Chronique de joie et de tristesse

Du bonheur consommé avec tendresse

Tournant les pages, ainsi décrites

Elle veut vivre à son rythme

Sans entrevoir de conseils

Qui parfois la harcelle

Parfois, elle vit dans un monde

Oubliant les ombres profondes  

Elle les décrit avec passion

Dans son monde d’illusion

Pour donner de grands frissons

Et oublier les déceptions

En compagnie de sa muse

Elle joue avec la lune

L’astre qui sait imposer

Aux nuits étoilées

Des amours prohibés

Qui se lie dans l’obscurité.

Elle sait pourtant

Que tout cela n’est qu’ornement

La poésie a des attraits

Que personne ne connaît

L’incomprise ;

Se promener, dans la forêt

Découvrir un lieu enchanté

À ses yeux, une telle valeur

Lui remplissait le cœur

Tant d’amour, elle venait puiser

Afin de le redistribuer

L’illusion devint un mirage

En cette idée qui l’effleura

La vie ne se vit point comme çà.

Elle ne se nourrit pas de joie

Alors elle resta là les bras croisés

Puis d’un pas pressé

Elle disparut vers la forêt

Écoutant les oiseaux gazouiller

Le cours de l’eau diffusé

    Les segments de son âme blessée.

Elle s’ouvrit avec chaleur

Accordant à chaque cœur

Un présent rempli de bonheur

Illustrer avec douceur