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Le soir venu dans son grand lit
Elle s’abreuve de fantaisie
Lisant ainsi de beaux romans
Qu’elle savoure discrètement
Des amours du Marquis de Sade
Elle file vers la chartreuse de parme
Elle relit Verlaine et Rimbaud
Sans oublier Victor Hugo
Lorsque le jour s’enfuit au loin
Elle replonge vers son destin
Cherchant un issu de secours
Pour égaler l’aube du jour.
L’embrun de ses pensées
Suscite un rêve d’éternité
Sous son vieux chêne centenaire
Elle feuillette son bréviaire
Demandant à la lune candide
D’attiser son cœur qui s’épuise
La liseuse reste interrogative
Sur ces lectures dubitatives …
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