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Écrire un mot n’est guère difficile
Nul besoin d’avoir du style
Deux ou trois mots griffonnés
En toute simplicité
Cela redonne le sourire
À celui qui veut écrire
Alors, n’hésitez plus
Laissez glisser votre plume
Vous serez vraiment étonné
De voir qu’elle peut vous consoler
L’écriture reste un moment d’évasion
Lorsque le cœur devient prison
L’écriture réconforte le moral
Lorsqu’en vous tout va mal
Confiez-lui vos soucis
Ceux qui hantent votre esprit
Vous sentirez en vous un certain bien-être
Un certain bonheur comme nul autre pareil
Pour un certain temps, votre moral sera distrait
Et, par la même occasion, vous serez consolé.
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Écrire un mot n’est point difficile
Point besoin d’avoir du style
Deux ou trois mots griffonnés
En toute simplicité
Cela redonne le sourire
À celui qui sait écrire
Alors, n’hésitez plus
Laissez glisser votre plume
Vous serez vraiment étonné
De voir qu’elle peut vous consoler
L’écriture reste un moment d’évasion
Lorsque le cœur devient prison
L’écriture réconforte le moral
Lorsqu’en vous tout va mal
Confiez-lui vos soucis
Ceux qui hantent votre esprit
Vous sentirez en vous un certain bien-être
Un certain bonheur comme nul autre pareil
Pour un certain temps, votre moral sera distrait
Et, par la même occasion, vous serez consolé.
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L’homme devient hors la loi
Lorsqu’il bafoue les droits
Gâchant son propre avenir
En négligeant sa survie
Ne pensant qu’à combattre
Pour des idées insondables
Au nom d’une religion
Il se gave de conditions
Obtiendra -t-il ce qu’il attend
Entre vagues et tourments
Un jour viendra,
Ou l’homme regrettera
Les combats futiles et ingrats
Trop tard, il se souviendra !
Que le bonheur
Ne rime pas avec horreur.
Les lois nécessitent un respect
Afin de vivre dans le calme et la sérénité
Des choix s’imposent à leurs yeux
Pour vivre pauvre, mais heureux.
Tout reste donc encore possible
Seule condition restée paisible !
Afin que la vie devienne plus riche
Éclatante d’amour et de délices...
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Dans l’ombre du passé
Vivre pour oublier
Nos moments d’aigreurs
Intensif ; moment de douleurs.
Durant des jours des mois
On demeure sans voix
Voulant tout délaisser
Passé, présent, et avenir
Tout repousser et s’enfuir
Ne plus voir l’aurore se lever
Ni l’aube, se coucher
Vouloir oublier son identité
Pour oublier son passé
Ne plus parler, juste dormir
Pour oublier nos supplices.
Ne plus oser se libérer
Des ombres du passé
Fermer les paupières
Garder nos mystères
Subsistant tel un fardeau
Menant droit au tombeau
Se laisser emporter par le vent
Par de hauts hurlements.
Mais ; garder un petit coin d’avenir.
Pour ne pas se laisser mourir.