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Par Cynderella le 1 Février 2012 à 17:50
Telle une étoile tu éclaires mes rêves sans discours
Telle une fleur, tu leur donnes le parfum de l'amour
Tel un papillon de lumière, tu y déposes tes couleurs
Pour que dans mes rêves s'effacent toutes les douleurs
D'une vie qui le plus souvent n'a pas de cœur
Et dans une explosion de bonheur
Tu as fait de mes rêves une réalité
Et de prince des rêves
Tu es devenu mon prince adoré.
Celui que je vénère en réalité
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Par Cynderella le 31 Janvier 2012 à 19:34
Toi que le destin a mené jusqu’à moi
J’ai tant d’amour, à t’offrir crois-moi
Sauras-tu en profiter ? Là est la question.
Pourtant moi je t’offre tout avec passion
Peut-être de ce feu es-tu qu’une étincelle !
Qu’un rayon égaré que les astres rappellent
Peut-être un jour viendras-tu jusqu’à moi
Seras-tu l’amant caché dans le miroir
Dans le miroir du temps, tout est périssable
Tout comme les rayons de la céleste flamme
Seras-tu capable de conquérir mon cœur
En m’apportant juste un peu de ta chaleur
Ce poème d’espoir écrit ce soir ; je te le dédie.
Toi qui sans le savoir as bouleversé ma vie
Ce songe brillant n’était-il qu’un rêve.
Qui commençait à peine, et qui déjà s’achève !
J’aimerais tant croire en notre histoire
Mais, seul le temps guidera nos mémoires…
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Par Cynderella le 28 Janvier 2012 à 11:52
Souffrant de solitude, ne sachant où aller
En ce monde souffrant, et pourtant adoré
D'une pure passion traquée par la folie
Combattant dans le noir et jusqu'à l'infini
Tant de dures souffrances, et pourtant tant de joies
Souffrant de cette absence, traquée aux abois
On vit à l’écart dans de sombres recoins
L'espoir d'une vie meilleure, requise avec soin
Des portes de l'enfer, à celle de l’Éden
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Par Cynderella le 28 Janvier 2012 à 11:30
Où étais-tu ?
Depuis ton départ
Ses yeux sont hagards.
Cherchant ton regard.
Le son de ta voix
Ne lui parviens pas.
Elle ne l’entend plus
Serais-tu perdu ?
Seuls dans les nuages
Elle garde l’image
De ton doux visage.
Ton cri disparaît
Sous l’épais brouillard.
Le conte de fées
Est-il terminé ?
Le silence l’a tue
Les mots sont perdus.
La muse imparfaite
A perdue la tête
Depuis hier soir
Elle broie du noir.
Elle reste là
Attendant ton pas
Qui la guidera
De nouveau vers toi.
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