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Par Cynderella le 12 Octobre 2012 à 19:24
Il faut continuer à s’aimer
Faire l’amour, sans poser de question
S’aimer sans succomber
À l’heure de la désillusion
Dans un élan d’orgasme
Se sentir vulnérable
Se sentir en harmonie
Puis avec ce corps, jouir
Savourer tout le plaisir
Et s’aimer jusqu’au bout de la nuit
Se donner corps et âme
Jusqu’à ce que meurt la flamme
S’aimer jusqu’au dernier soupir
Et mourir de plaisir
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Par Cynderella le 17 Mai 2012 à 23:44
Plusieurs fois, j'ai songé
À cette nuit en ton sein
Où tes mains plongées
En direction de mes reins
Nos deux corps allongés
Ambiance romantique
Dans des jeux érotiques
Nous voici engagés
Caresses échangées
Du bout des doigts mutins
Amants fiers mélangés
Jusqu'au petit matin
Le temps a pris congé
De nos vieilles habitudes
Touchant sans le garder
Une nuit bien peu prude
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Par Cynderella le 7 Mars 2012 à 15:08
Dans cette chambre inconnue
Lors d’un été farfelu
Avec lui elle s’est perdue
Elle le combla de ses vertus
Lui dévoilant des secrets inavoués
Fascinante, en dentelle de Calais
Dans sa valise, elle avait emporté
Des dessous chics et raffinés
Durant l’absente de sommeil
Rideaux tirés sur les persiennes
Elle fermât les yeux et attendit
L’âme perturbée, le corps alangui
Rêvant de tendresse, de caresse infinie
Tout pré d’elle, allongé sur le lit
Son mari la surprend dans son insomnie
Lentement, il s’approche de ce corps qui frémit
Au contact de cette peau douce et sublime
Comme un peintre sur sa toile, il dessine
En parfaite harmonie, les contours des ses seins
Puis de ses mains expertes de velours
Il descend aux creux de ses reins
Découvrant avec frénésie chaque courbe
Sous ses baisers devenus plus ardents,
Leur corps s’enflamme en une ultime romance
À lui elle s’est donnée en extase sans retenue
Conjuguant un rêve éphémère vaincu
Ce n’était point une illusion,
Ni une exquise de discrétion.
Mais un amour-passion
Découvert à la perfection
C.L
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Par Cynderella le 22 Février 2012 à 17:00
Je t’écris comme promis
De ma plume la plus fine
Par inadvertance, j’ai froissé le papier
Celui qui contenait mes mots cachés
Aussi je vais m’appliquer, à écrire ce que je ressens
Lorsqu’en ta présence, je suis dans ce petit bar
Où : l’on se retrouve chaque soir
La fumée m’incommode, je m’en moque
Du moment qu’avec toi je partage cette chambre de bonne
Mais sentiment si différent
Je sais qu’il nous est interdit, de nous aimer simplement
Lorsque dans ce modeste hôtel
Nous sommes tous deux enlacés
C’est pour assouvir nos ébats en sommeils
J’aime tes baisers fougueux, , j’en frissonne
Tes doigts agiles parcourent mon corps
À la recherche de mon Triangle d’or
J’ai envie de sentir la chaleur de ta chair
Tes mains qui caressent ma peau de porcelaine
Laisse-moi t’aimer comme une folle
Goûter ses plaisirs qui font vaciller mes neurones
Je veux en jouir comme personne
A ce jeu des amours interdits
Si un jour je m’abandonne et j’en perds ma vertu
Avec toi, j’aurai goûté au fruit défendu
Si un jour cela devait se terminer, avec toi ,j’aurais profité de la vie
Dieu me pardonnera-t-il ses instants de folies ?
Ceux vécus sans retenue, lorsque j’étais dans ton lit
Je te dédie ce poème et toutes mes envies
À toi qui partages un morceau de ma vie
L’amant d’un rêve éphémère
Je garde en moi tout le mystère ...
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