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poèmes érotique
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Par Cynderella le 22 Octobre 2015 à 16:19
Lorsque deux êtres sont amoureux,
Rien n'est plus doux à leurs cœurs étonnés
Que la perspective du premier baiser.
A la pensée d'être embrassé,
Par celui que l'on aime, le fantasme est très fort.
Le désir caché que l'on a de l'être aimé nous fait frissonner.
Nous attendons et retardons cet instant tant espéré
Pour mieux l'accueillir, s'en délecter jusqu'à l'ivresse.
Deux bouches se frôlent à peine,
Puis osent, et se pressent l'une contre l'autre,
Deux cœurs battent la chamade
Puis, timidement, nos langues se goûtent
Fiévreuse, avides et consentantes.
La fusion émotionnelle s'accomplit
Par le miracle charnel du baiser.
Vient l'instant des premiers gestes.
Nos mains se touchent. Nos doigts se mêlent.
Nos regards s'accrochent l'un à l'autre,
Se parlent, s'enveloppent d'une l'envie folle d'être fusionnels.
C'est le moment le plus magique et cette première étreinte,
Que l'on oserait s'imaginer ! Un frisson nous envahit de plaisir
Il monte en nous, nous parcourt tout entier, nous électrise.
Lèvres contre lèvres, corps contre corps
Assaillis par le besoin de connaître l'amour charnel,
Nous ne contrôlons plus nos sens.
Affolés par des sensations qui nous enflamment.
Notre désir se fait plus pressant, plus exigeant.
La magie de l’amour opère et nous transporte.
Comme dans un songe; un rêve tout éveillé.
Au-delà du raisonnable au-delà de toute réalité.
Ce baiser, d'abord timide, hésitant,
Est devenu plus ardent, plus passionné
Pour nous amener inexorablement à nous appartenir.
Nos corps brûlants se laissent aller à ce jeu de l'amour.
Qui nous dévore nous consume,
Jusqu'à l'oubli total de ce qui nous entoure.
Nos yeux se ferment, nos sens en ébullition dirigent nos actes
Et le temps se fige. C'est l'alchimie de l'amour.
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Par Cynderella le 1 Mars 2014 à 22:37
Je respire l'odeur de ton corps gracieux
Tu m'embrasses, en moi s'affiche un sourire radieux
Mon visage s’éclaire d'une exquise lumière
Celle que m'offrent tes yeux, bleu clairL'élixir de ta bouche où l'amour se propage
De part en part, enveloppe mon visage
Remplis à jamais mon cœur de douceur
Et vers toi, mes désirs partent sans pudeur.J'aime voir ton être frémir
Quand dans le mien ton corps s'étenise
Boire ton souffle comme un cadeau de la vie
Réunis en une parfaite harmonie.
Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,
Tu dors paisiblement à l'ombre de mes seins,
Je dépose sur ta peau un baisé d'adieux
Sur les lèvres de ton sommeil divin.C.L
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Par Cynderella le 28 Juillet 2013 à 19:03
Nous n'avions établi aucune prévision
Mais dès que seuls nous nous sommes retrouvés
Nous nous sommes baignés soudain dans la passion
Nos langues, ne cessant d’être unies et animées
Sous cette passion offerte, je m'enflammais
Sous mes caresses intenses, mon corps vibrait
Une intense source de félicité en moi mutait
Mes mamelons ronds se raidissaient
Aux contacts de ces mains affriolées,
Mon Triangle d'or s'offrait à lui sereinement
L'invitant à être exploré silencieusement
Il ne se fit nullement prier
De mon intimité, je lui offrais l’hospitalité
Au contact de ma caverne mouillée, il découvrit
La jouissance, et l'orgasme partagé
Son désir me captivait sans répit
Ne voulant que du plaisir à volonté
Ressentir son corps sur le mien vibré
Jouir, et sentir nos corps s’engloutir
Je suis cette muse qui aime observer
Celle, qui partage des émotions harmonisées
Afin de vous narrer de douces folies de légèretées
Flirtant avec la douceur d'aimer.
C.Laurette
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Par Cynderella le 3 Novembre 2012 à 13:24
Moi ! La salsa j'adore
Accompagné d’un verre de martini
Pour moi, c'est la folie
De ma robe tu ne fais qu'un pli
La dégrafant d'une main habile
Glissant sur mon dos tel une douce caresse
Sur mes reins, cette senteur d'ivresse
De ta langue, tu explores avec envie
La pointe de mes seins emplis de désirs
Dos cambré sur mes talons, mon corps nu
Nos pensées désormais perdues
Tu glisses entre mes cuisses
Brûlant l'interdit aux calices
Sentant monter en nous cette fièvre
Tu dévores à pleine bouche la chair de mes lèvres
Ce bouton d'or fleuri qui roule en ton palais
Dieu que c'est bon, et que ça te plait
De jouer avec moi à ses jeux interdits.
Qui nous entraine au paradis !
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