•  

    Toi et moi !

    Mon tendre amour vient!

    N’attendons pas demain.  

    Allons nous promener jusqu’au petit banc de pierre

    Il attend notre randonnée, juste avant l’hiver

    Nous parlerons du bon vieux temps 

    Même si notre jeunesse a fichu le camp 

    On s’aime encore comme à vingt ans

    Peu importe le lieu

    Pourvu que l’on soit tous les deux

    Prends ma main dans la tienne

    Et dis-moi que tu m’aimes

    Je ne me lasserai jamais

    De t’entendre plaisanter

    Combien d’années se sont écoulées ?

    Pour que l’on s’aime autant nous deux !

    Je me souviens du temps joyeux

    Où tu me faisais du charme,

    Sous le vieux platane.

    Aller vient ; inversons le chemin

    Nous reviendrons encore demain

     Seul bémol à nos vies aujourd’hui

    C’est d’avoir quitté notre nid

    D’être venus dans cet endroit 

    Vivre nos vies jusqu’à trépas

    C.L 

    Toi et moi !

     


    1 commentaire
  • Bonjour

     

    Bonjour

    Contemple ses grands yeux de biche.

    Tu ne découvriras point un abîme

    Seulement une véritable oasis d’amour  

    Qui te transportera ainsi chaque jour.

     Lorsque tu évoqueras chaque oraison

    Tu seras enivré d’amour et de passion

    Chaque jour sera un réel bonheur  

    Tu croqueras la vie avec les délices du cœur

    Ceux-ci auront la saveur du miel 

    Et non point le gout du fiel  

    C.L 

    Bonjour


    4 commentaires
  • Bonne soirée à vous tous

    Observe ! 

    Observe autour de toi

    Ouvre grand tes yeux

    Tu percevras près de toi

    Un monde fabuleux

    La nature t’offrira   

    Ce qu’elle a de mieux

    D’innombrables trésors 

    Offert par un seul Dieu

    C.L

    Bonne soirée à vous tous


    5 commentaires
  •  

    Je veux !

    Je veux !

    Je veux être libre

    Comme l’air que je respire

    Oublier que j’ai du chagrin

    Lorsque je pense à demain

    Assise derrière mon clavier

    Mes doigts pianotent sans regret

    Sur les touches fardées

    D’une requête plaidoyer

    Entre les lignes, je trace ma vie

    En n’omettant aucun indice

    Le papier parfois se déchire

    Alors que mon clavier insiste

    À conter les errances d’une vie

    Qui peu à peu s’est adoucie

    Aujourd’hui, je continue à satisfaire

    Mes suppliques secrètes

    Je les étale en oraison

    Au grimoire des conclusions

    C.L

    Je veux !


    votre commentaire