-
Par Cynderella le 22 Novembre 2016 à 15:13
Mon cœur est inondé, d’une immense tristesse
L'homme a décidé d’abattre sans faiblesse
Le vieux chêne compagnon de mes jours d’allégresses
Oh ! Combien de fois sous ces frondaisons, me suis-je réfugiée ?
Comment aurai-je pu un instant m'imaginer !
Qu’un jour au pied de lui, je viendrai supplier
Des hommes sans pitié, lui coupant ces racines
Tant de fois, j’ai crié ! Laissez-le donc tranquille !
Il ne dérange en rien ce petit coin paisible.
N’éprouvant pas la joie immense qu’il procure
Favorisant l’argent, à la belle nature.
Sans oublier l’odeur, qu’encense le bitume
C’est le cœur souillé, et rempli d’amertume ;
Que je demeurais seule en compagnie de ma rancune !
Envers ce monde acariâtre et abrupt
En condamnant à mort, le vieux chêne de mon enfance
Ils ont cassé en moi, un trésor d’innocence
Le cœur serré, mon âme vagabonde
En mes souvenirs, intarissables et profonds
Jamais en mon cœur ils ne détruiront
Ce que la nature m’avait donné de bon…
C.Laurette
votre commentaire -
Par Cynderella le 22 Novembre 2016 à 15:10
J'aimerai de mes doigts
Avec le fil de mon amour
Broder sur ta peau
L'image de ma passion
Mais le fils est trop court
Mon amour trop puissant
Je reste sans recours
Devant mon découragement !
Certes, tu as des sentiments
Mais sont-ils aussi forts
Que ceux que mon cœur ressent.
Dans l'alcôve de tes bras ;
J'oublie mes tracas.
Combien de temps ?
Devrai-je vivre dans l'attente.
De la certitude d'un amour partagé.
Sans l'ombre d'un secret…
C.Laurette
2 commentaires -
Par Cynderella le 4 Décembre 2015 à 16:33
Deviendrai-je éphémère ?
J’aurais aimé dormir d’un sommeil d’innocence
Sans effroi, écoutez ce long et doux silence !
Semé d’anneaux de lumière et de joie
En mon âme bercer d’une myriade d’étoiles !
Retrouverai-je un jour l’éclat de mon sourire ?
Je n’ai point assez vécu, pour mourir
J’ai encore tant et tant de choses à vous dire !
Mais voici qu’à présent je n'ose point les écrire !
Nul adieu ne viendra gémir dans l’harmonie
En ce jour de musique et d’ivresse infinie !
Les rides de mon sort sont des feuilles de roses
Atome savouré dans le miel qui l’arrose !
C.Laurette
votre commentaire -
Par Cynderella le 4 Décembre 2015 à 16:33
Il suffit !
Il suffit parfois d’une étincelle
Pour que renaisse cette ivresse
Cet espoir que l’on a condamné
Dans un délire inavoué
Certaines paroles dites avec simplicité
Peut faire renaître une félicité
On y prend gout et l'on se laisse envouter
Par cet instant singulier et inaccoutumé
Alors on ne veut plus lâcher ce fil conducteur
Qui engloutit à jamais nos chagrins et nos pleurs
C.Laurette
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique