Obscures brûlures en mon cœur

Mornes blessures à l’intérieur

Mon bien-aimé m’a trompée

Un soir d’orage en plein été

Partie juste pour quelques jours

Ce fut le drame à mon retour !

Ils étaient tous deux enlacés

Sur notre lit, à se chérir et à s’aimer

Ma tête s’est mise à tourner

Alors mon cœur a explosé

L’homme qui disait m’aimer

Depuis tant d’années, me duper

Quelle erreur ai-je donc commise

Pour découvrir cette surprise

Depuis, cette vision hante ma vie

Sans cesse, je quête ce caprice

Qui a détruit mes illusions

Mes rêves et mes passions.

Alternant un simulacre de vie

Depuis qu’il est parti

Mon seul regret

C’est de l’avoir trop aimé

 

 

 

Le jour s’est levé tout habillé de gris

Les astres ont chuté au miroir des abîmes

Le mal est dans ma tête, et l’enfer dans mon âme.

Et pour tout oublier, j’enfonce cette lame !

Au plus profond de moi, tout au fond de mon cœur

Pour clore cette vie, pour stopper ma douleur !

Mes yeux pleurent ce sang, qui coule sur ma peau

Ils pleurent ce monde, qui ne fut jamais beau !

Mes yeux se ferment, je ne peux plus bouger

Ma vie s’achève, tout est terminé.

Dans le fond de mes yeux, l’obscurité est là !

Affaiblie, épuisée, je ne vois que du noir.

Entre souffrance et chagrin, long fut le chemin

Au bout de la rue, j’ai trouvé mon destin !

Laissez-moi donc partir, vers l’infini

Ou la mort me sera plus douce que la vie !

Adieu ! Monde pervers peuplé d’agonies !

Je ne veux plus souffrir, je veux juste partir

 

 

 

 

Ai-je bien fait de partir,

De m’éclipser de ta vie

La sincérité chez toi n’existe pas.

À nouveau, voilà que tu disparais

Comme tu l’as fais tant de fois.

Mais cette fois, je ne te pardonnerai pas!

Je sais que dans d'autres bras

Loin là-bas, tu m’oublieras.

Je suivrai mon petit bonhomme de chemin

Car le tien était semé d’embûches, de tracas.

Tu disais pourtant vouloir aller si loin

Que de belles paroles et d’embarras!

Nous aurions peut-être vécu une belle aventure

Mais pour cela, il t’aurait fallu être nature.

Toi, les billets tu sais bien les écrire

Et moi je sais les lire.

C’est ce qui a fait mon malheur

Et cela durant des heures.

Je pense avoir trouvé la solution

Pour parer à mes émotions,

Surtout quand je relis sur le papier

Que tu m’aimes encore.

Tu ne m’oublieras jamais ?

Moi je rêve alors...

Cela est-il mensonge ou vérité ?

Je ne le saurai jamais !

Moi ! Je n'ai jamais joué avec ton cœur.

Toi ! Tu as souvent mis le mien en pleurs.

Alors, j’ai décidé aujourd’hui

De t'expulser de ma vie!

Mais ce qui me fait plaisir

C’est de pouvoir toujours écrire

Avec toi, j'ai toujours un bon sujet

Que je garde sous l’oreiller.

Merci pour tous les bons moments

Partagés en tant qu'amants

Jamais je ne les oublierai,

Dans le futur, je m'en servirai

Pour écrire de belles légendes.

Elles feront chavirer en cadence

Des cœurs malheureux insatisfaits

De n’avoir pu trouver un amour à partager.

Qui tu étais, je ne l'ai jamais su

Un homme trop irrésolu

Alors c'est ainsi je te quitte!

Je me sens trompée et naïve.

J’ai tout dit, je te bannis de ma vie

Avec d’autres victimes réitère à ta guise

Tes fourberies d’incohérences.

Tu apprivoiseras leur confiance

Dès qu’elles auront croisé ton chemin

Tu obscurciras leur destin.

Moi j’ai tourné la page, je ne t'écrirai plus

De notre amour ce sera le dernier opus!

 

Un de mes ancien poèmes 

Je tiens à remercier une amie de m'avoir aidé  

Je doute toujours de moi mais cela est normal  

Désormais je n'en mettrai qu'un seul

Que j'aurai relu minutieusement  

Avant de poster 

Merci a vous mes amis bonne et douce nuit

Votre amie Laurette  

 

Je sais que tu m’as trompée

Toi qui es devenu guerrier,

De l'odeur alléchée,

 Du  goût de l'aventure,

Des odeurs épicées,

Faites contre nature

Tentées, elles t’ont piégée

Tel un chasseur épris de liberté,

Tu as choisi ta proie,

Sans penser à moi

Tu as oublié nos promesses,

Nos moments de tendresses,

Souvenirs au coin du feu.

Enlacés, nous étions heureux

Tu as oublié l'odeur de ma peau.

Ce doux refrain, ce bel canto

Aujourd’hui vers ton nid tu reviens

Pour te blottir dans nos draps de satin

Après avoir vécu, des aventures d’un soir

Tu as savouré tes proies ! Sans penser à moi

Tu m’as fait trop de mal

En femme meurtrie ! Je te chasse

Je n’accepte plus tes dérobades

Cette fois, il est trop tard !

De ma vie tu ne fais plus partie

Repars ! Vers tes conquêtes d’une nuit.