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    Les bons moments ...

    Les bons moments ...

    Tirer un trait sur le passé,

    Ne lui accordant aucun attrait

    Malgré l'amour qu’elle eut gardé

    La page elle veut tourner

    De cet amour dissimulé

    Elle ne peut en négliger

    Tous les bons moments

    Passés avec raffinement

    Avoir aimé, sans retenue

    Avoir gagné, puis perdu.

    Leur histoire fut futile

    Dans leur vie insipide

    Combien furent-ils beaux

    Ses moments vécus en duo

    Leur amour fleuré bon le matin

    Au saut du lit près du jasmin

    Dans le parc sur l’herbe verte

    Oh combien de découvertes

    À présent, il faut oublier

    Cette histoire c’est du passé 

     

    Les bons moments ...

     

    Les bons moments ...

     


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    Au fil du temps !

     

    Au fil du temps !

    Il est des mots joliment écrits

     Qui reste à jamais gravée

    Dans l’album de mes souvenirs

    Dans ma mémoire, ils sont stockés.

    Certains évoquent des moments tendres

    D'autres, moins doux, se font entendre.

    Dans les moments de tristesse

    Il y avait des mots qui blessent

    Ils ont perdu leur fils tranchant

    Ils ne font plus souffrir autant.

    Sans doute ai-je assimilé

    Toutes ces choses qui font pleurer

    Et dans le livre de ma vie

    Il y a ceux que je feuillette

    Quand vient la nuit

    Seul avec le cri de la chouette

    Je me surprends à contempler

    Les sombres abysses fanés

    Ils déambulent dans mes pensées

    Noyés dans un brouillard épais.

    Cependant les périodes de bonheur

    Eux ont su garder leur splendeur

    Je peux discerner la joie

    Ceux ! Éprouvaient autrefois.

    Certaines douleurs vilaines

    Passent par là et puis s'éteignent.

    C'est un peu comme les nuages

    Qui passe sans qu'il y ait l'orage.

    Ils restent des pages vierges sur mon manuscrit

    Où ! J'y apposerais les moments vécus

    Ils resteront une sculpture  

    De ce dont j’aurais appris

    Les épreuves qui m'attendent

    Aux pages, elles viendront se suspendre

    Et ainsi mes heures de bonheur.

    Déposeront leurs touches de couleur.

    Bien plus tard alors je serai vieille

    Ce livre sera mon ultime merveille

    Je pourrai venir y relire

    Les pleurs de ma vie, et mes rires

    Avec un zeste de mélancolie

    Je penserai à ses soucis

    Ensuite avec une grande sagesse

    Je savourerai ma vieillesse.

    Oh ! Oui, les tourments font grandir

    Mais ils font partie des souvenirs

    Parce que la vie est ainsi faite

    De surprenantes victoires et défaites.

     

    Au fil du temps !


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    Dans mes nuits sans sommeil

    Dans mes nuits sans sommeil

    Dans mes nuits sans sommeil

    Je ne pense qu'à toi

    Les ombres qui s’éveillent.

    Ne me parle que de toi

    Dans mes nuits sans sommeil 

    Le temps qui s’attarde

    Au fil de mes pensées

    Fais qu'à toi je m'attache

    En un rêve annoncé

     Dans mes nuits sans sommeil

    Je cherche des syllabes

    Je m'invente des mots

    Des phrases inoubliables

    Des notes en solos

     Dans mes nuits sans sommeil

    Dans le creux de tes doigts

    Je place mes espoirs

    Peut-être que ce soir

    Folle sera l'histoire

     Dans mes nuits sans sommeil

     

    Quand tu es loin de moi

    Qu'on ne peut s'exprimer

    J'écoute alors ta voix

    Qu'englobent mes pensées

     Dans mes nuits sans sommeil

    Lorsque sur une page

    Je regarde le ciel

    Au milieu des nuages

    Je pleure sur l'arc en ciel... 

    Dans mes nuits sans sommeil 

    Dans mes nuits sans sommeil


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    Un peu de son passé ...

     

    Un peu de son passé ...

     

    Face à cette rébarbative situation

    Comment protéger ses illusions

    Celles enfouies en elle

    Qui l’a conduite dans la nacelle

    Coûte que coûte ! Connaître la vérité

    Elle aurait dût, éviter de fouiller !

    Dans un passé souillé, de souvenirs ternis

    Elle doit exécuter afin d’exterminer

    Ces obsessions maladives

    Le présent fait obstacle à une réminiscence tardive

    Mais il n’est jamais trop tard

    Pour guérir un passé chargé de souvenirs

    Suffit de rédiger et de tenir le cap

    En n’omettre d’oublier ses déboires 

    Même si cela lui fend l’âme

    Vivre avec ce fardeau

    Lourd comme un tombeau

    Déloger les démons

    N’entraîne rien de bon

    Pourquoi a-t-elle ouvert les portes ?

    De la boite à pandore.

    Cherchant à savoir l’authenticité

    D’une vérité ! Copieusement caché.

    La voici à nouveau confronter

    À des évènements non élucider

     Une confession inattendue,

    L’ayant à nouveau perdu 

    À présent, elle ne sait plus très bien

    Où est le mal ? Où est le bien ! 

    Exister dans l’antre de ce mal

    Qui ronge le corps et l’âme

    Depuis autant d’années.

    Comment chasser sans regret ?

    C’est excédant de rivalité.

    Comment s’instaurer un avenir ?

    Puis tirer un trait définitif

    Afin d’épuré ce passé…

    Un peu de son passé ...

    Un peu de son passé ...



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