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Par Cynderella le 22 Septembre 2012 à 22:10
Dans le miroir de mes pensées !
Ce soir, une de mes larmes a coulé
Dans le miroir de mes pensées
Entre mes lignes et mes images
Et les poèmes que je partage
J’ai attendu que tu reviennes
Mais ton silence m’a laissée blême
Dans mon monde chimérique
J’y mets des songes romantiques
Je suis donc restée à t’attendre
Seule dans mon indifférence
Que me reste-t-il à espérer
De cette euphorie non partagée
Mon âme a égaré sa couleur
Mon cœur a perdu sa chaleur
Il ne me reste que du gris
Que je consomme à l’infini
*Laurette*
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Par Cynderella le 22 Septembre 2012 à 22:07
Je pourrai !
Je pourrai lire dans ta main
Les lignes de ton destin !
Celles qui apparaissent sans fin
S’évaporant au petit matin !
Celles légèrement courbées
Qui croise ta ligne de vie !
Encombrée de futilité
Outrepassant les interdits !
Celles jouant l’indifférence
Cruelles dans son arrogance !
Celles inondées de larmes
D’où s’évapore ton charme !
Je pourrai lire dans tes yeux
Que tu es un signe de feu !
Tu recherches sans fin l’amour
Sans l’avoir trouvé en retour !
Je vois aussi une lueur,
Te conduisant vers le bonheur …
*Laurette*
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Par Cynderella le 4 Septembre 2012 à 15:11
Enfance volée !
Jeunesse détruite !
Durant des années, il a abusé,
De ce corps à peine formé.
De ses mains gorgées de vices,
Lui faisant subir les pires sévices.
Ses cris, ses plaintes, dans le néant sont restés,
Que de meurtrissures en son âme blessée.
Il n’a rien changé à ses habitudes,
Continuant ses infâmes turpitudes.
Jusqu’au jour, où ce petit être s’est effondré
De ses traitements si souvent infligés.
La peur a ralenti ses immondes sévices,
Cependant, il conserva ses félonies
N’étant pas la chair de son être,
L’alcool aidant ses jours d’ébriétés.
Il devenait cet être abject
Qui aurait dû être démasqué
Mais elle n’a jamais rien dit,
Craignant la peur, et la tyrannie.
Elle en garde des bribes martyres.
Éponyme de sa vie.
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Par Cynderella le 7 Août 2012 à 14:03
La mort ne me fait plus peur
Elle a gagné mon cœur
J’ai vécu dans le bonheur
Malgré mes années de malheurs
Mes cheveux blancs marquent le temps
Mes rides sont instaurées comme un présent
Elles marquent mon visage
D’un accent d’oracle
Mes cheveux, je peux encore les colorer
Pour paraître plus jeune à tes côtés
Durant encore quelques années
Le temps qui me sera évalué
Avant qu’elle vienne me chercher
Un jour d’hiver ou bien d’été
Je suis fin prête ! Elle peut venir !
Je n’ai plus peur de mourir
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