-
Par Cynderella le 6 Novembre 2012 à 12:35
Regardant par la fenêtre
Je me dis ! Demain peut-être.
Serai-je millionnaire ?
En jouant avec le hasard
Y aura-t-il pour moi un endroit
Ou la vie serait plus douce qu’ici !
Permettez-moi d’en douter
Car l’argent ne fait pas le bonheur
Même s’il y contribue souvent !
Mais que ferai-je de cet argent
Moi qui ai vécu durant si longtemps
Avec mes faibles revenus cependant !
Me rendra-t-il heureuse seulement ?
Ou m’entrainera-t-il des soucis
Moi qui suis habituée à ma petite vie
Cela ne me tente même pas
Aucun risque de ce côté-là
Puisque je ne joue pas !
Ma vie est faite d’amour et d’allégresse
Laquelle est conservée avec délicatesse
votre commentaire -
Par Cynderella le 3 Novembre 2012 à 12:49
La pluie a refait son apparition
Et sans toi, j’ai des frissons
Ou es-tu ? Toi qui fais battre mon cœur !
Avec quelques mots écrits en douceur
De tes bras je rêve chaque soir
Même, si je sais qu’ils sont dérisoires
En amour, je garde une place
Pour chacun de mes fantasmes
Chaque nuit, je rêve que tu m’enlaces
Avec toi, la tristesse n’a plus de place
Lorsque sous tes caresses je fonds
Le reste me parait être illusion
Possessive, je vis avec une certaine exaltation
Me laissant glisser vers l’inspiration
Ou tes bras m’étreignent avec affection
Tu fais de moi ton autre, dans cette confession…
votre commentaire -
Par Cynderella le 25 Octobre 2012 à 20:26
Moi qui adorais la musique douce
Elle fut nostalgique
Celle que j’eus aux trousses
Entre angoisse et délire
Jouant ainsi quelques arpèges
J’ai échappé à ce maudit piège
Sur une note de solfège
J’ai évacué mes sortilèges
Ceux qui en moi étaient encrés
Aux plus profonds de mes pensées
De cette enfance mal ordonnée
J’ai dû ainsi m’accommoder
D’unique temps précieux à jouer
Des mélodies mal exécutées.
Sur un vieux piano désaccordé
À l'égard d’accords singuliers.
Ils se sont donc emmêlés
Ne pouvant devenir maestro
J’ai troqué mon vieux piano
Contre une plume un encrier
Des feuilles abîmées et du papier
Je peux donc me consacrer
À cette nouvelle passion
Que l’on appelle la poésie
Je veux connaître le grand frisson
Tout en profitant de la vie
10 commentaires -
Par Cynderella le 23 Octobre 2012 à 15:11
Toi ! Ma princesse adorée
Dieu que tu as grandit ma chérie !
Ses souvenirs restent indélébiles.
Ta mère m’a comblée
Avec ta venue inopinée
Tu es mon rayon de soleil
Celui qui m’émerveille
Par une journée ensoleillée
Le bout de ton nez tu nous as montrés
Depuis ! Que de bonheur partagé !
Entre sourire et complicité
Tu deviens une belle jeune fille !
Qui fait que mon cœur brille
Les yeux embués de larmes
Lorsque je te regarde !
Tu grandis bien trop vite
Et cela me chagrine.
Malgré tout, tu es mon insolence,
Tu es ma poupée d’arrogance.
Et en cette journée exceptionnelle
Je te souhaite mille merveilles
Un très bon anniversaire
Et mes vœux les plus sincères
Tu es le plus beau cadeau qui me fut donné
Je t’aime ! N’en doute jamais !
Mamie
6 commentaires