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Par Cynderella le 8 Octobre 2013 à 15:30
Lorsque je me sens vacillée
Me vient une seule idée
Celle de vite emprunter
Une feuille de papier
Ma plume et mon encrier
Puis je me mets à griffonner
Je n'aime pas le gris
Mais ! J'aime bien la vie.
Qui chaque jour me séduit
Je n'aime pas être triste
J’aime surtout les rires
Ceux qui m’éblouissent
Je n'aime pas le mensonge
Mais j'aime les songes
Car la nuit je m’y plonge
J’aime les baisers
Ceux qui viennent me caresser
Et tente de m'envoûter
Je n'aime pas le silence
C'est le son de l'indifférence
La chanson de la négligence
Je n'aime pas souffrir
Voir le ciel se couvrir
Déversant sa mélancolie
Je n'aime pas pleurer
Et pourtant je le fais
Lorsque je me sens diminuée
Mais ! J'aime la tendresse.
Qui me caresse
Et me donne l'ivresse
J’aime aussi la voix
Qui me berce d'espoir
À travers le noir
Mais oserai-je aimer ?
Sans avoir la peur de sombrer
Dans les méandres d'un temps passé !
Le fin mot de l’histoire
Et de croire
En sa bonne étoile
Votre amie C.Laurette
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Par Cynderella le 1 Octobre 2013 à 16:30
Effrayé, entre la soif d’apprendre
Et celle de comprendre
L’élève s’acquitte de ce labeur
En temps et en heure
A-t-il compris la leçon ?
Qui l’entraine vers l’obsession
De vouloir être au sommet
En face de compères chevronnés
L’angoisse le harcèle
Le tourment le possède
Saura-t-il se sortir
De ce piège fébrile ?
L’avenir lui dira
S’il a fait le bon choix
C.Laurette
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Par Cynderella le 30 Septembre 2013 à 13:40
Dès qu’apparaît l’automne
Mon âme tourbillonne
Je retrouve l’authenticité
D’un monde raffiné
Au gré de mes envies
Je dépose une poésie
Qui relate l'instant
D’un vécu simplement
Réel ou utopique.
Puis petit à petit, ce profil à l’horizon
La passion instinctive d'emprunter le crayon
Afin d’écrire des rimes
Fluettes et concrètes
Qui me rappelle
Ce désir irréfutable
De noircir une page
C.Laurette
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Par Cynderella le 24 Septembre 2013 à 16:44
Dans le brouillard d’automne
Le chasseur marche d'un pas agile
Vers sa proie qui soudain frissonne
À l’approche de cette silhouette grise
Dans le bois, le cerf brame au clair de lune
Appel lancinant à sa progéniture
L’oiseau chante sur la plus haute branche
Un refrain d’amour et de réprimandes
Qui parle d’un cœur que l’on va briser
Celui de l’automne, qui fait mourir l’été...
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