FIN- DE -BLOG 

Fatiguant d’écrire une histoire même fut elle banale

Ici, je vais donc tourne la page

Nul ne peut – être éternel dans ce monde

—

Dussé-je en pleurer quelque temps

En déplorant mon idée incongrue

—

Bien heureux est celui qui ne regrette rien

Larguer les amarres est assez difficile

Oublier pour une durée son œuvre ; mais !

Garder en son cœur ce souvenir intarissable

—

C.L

 

Mon petit chien  Gui-Yan 

 

Le shih-tzu a les yeux fragiles

Ils ont un si petit museau

Pourtant il court comme un fou

Mon gentil petit toutou

Mais sans regarder à côté

Devant la porte, inconstamment il jouait

Mais le vent, dans sa course folle

À apporter dans la haie des aiguilles de pin

Et cet après-midi, le verdict est tombé

En jouant, il s’est percé l’œil droit

Certainement, il va falloir l’opéré

 Lundi matin, ma fille doit le ramener

Devant son regard sombre et éploré

Je suis triste et affligée

Incapable de le soulager

Il reste couché à mes côtés

Je voudrais tant le voir courir

Plutôt que de le voir souffrir

Nos compagnons sont si gentils

Comment resté impassible

Devant leur souffrance

Eux qui nous donnent tant d’amour

Il m’apporte tant de joies

J’espère qu’il va vite guérir

Mon petit chien qui est aussi 

Celui de Florian mon petit fils 

Alors si les prochains jours

Je suis moins présente sur mon blog

Ne cherchez pas ! La réponse

Je vous l’ai donné !

À bientôt, pour des nouvelles

Votre amie 

C.Laurette

 

Guy-Yan 

Garder espoir il faut !

Unir nos forces

Y a-t-il une autre solution 

Y aura-t-il un résultat

Au bout du compte 

Nul ne peut savoir

C.Laurette

 

Hors du temps devenant cristal  

Insensible aux oraisons des arbres

Vibrants sous ton épais manteau blanc

Engouffrant pluie orage et vent

Rien ne détourne son achèvement

cliquer sur le pseudo 

Nadouche   

 

Noël c’est avant l’heure chez toi

Au contact de tes créations, nous fondons

Du soleil tu me donne à foison  

On oublie nos soucis un instant

Unique tu es pour enchanter nos cœurs

Chaque soir pour nous c’est du bonheur

Heureux nous sommes lorsque l’on vient chez toi  

En toute amitié tu mérites bien cela   

 

Pâleurs

Pleurant tel un acolyte

Aux fils de ses mots brisés

Lui dévoilant ses secrets

Expérimentés, et héroïque

Une note écrasée

Réside sur la page voilée

Sans vie.