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Ma vie bourgeonne de petites choses
Celles-ci dans mon cerveau cognent
Seulement, la santé reste avant tout
Un semblant de vérité malgré tout
Durant des jours des nuits
J’ai souffert sans répit.
Abdiquant devant la vulnérabilité
D’une santé ainsi fragilisée.
D’autres épreuves venues se greffer
Aux autres, ceux d’actualités.
Parfois, on combat avec ténacité
Une douleur supportée avec dextérité.
Alors que l’on soigne une chose
On dénote la gravité d’une autre.
Subsiste alors l’anxiété
Quand cela va-t-il s’arrêter ?
Le moral vire au plus bas
Évinçant tout courage en soi.
Dans un sursaut, on s’accroche
On combat, c’est atroce.
La souffrance nous fragilise
Rendant notre apparence hostile.
Toutefois, je veux garder l’espoir
Exclure ce manque de confiance en moi.
Sinon, la porte reste grande ouverte
À certaines avances inexpertes...