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Avec toi ...
C’est au plus profond de tes yeux
Que je trouve la sérénité des cieux
Là, il n’y a point de mystère
Seul, le réel émerge du rêve.
Telles les douces vagues de l’océan
Qui ondule sous le souffle de la brise
Les reflets de tes yeux rayonnants
Me transportent vers un océan de désir !
Sous l’écrin de ton regard ensorcelant.
Je reste sans voix devant ce chatoiement
Telles les vagues qui caressent le rivage
Tes yeux étincellent ornant ton visage.
De radiations aux diverses couleurs
Ce qui fait apparaître ta beauté intérieure.
Ton regard dégage un sentiment de bonheur
Dans lequel en contemplation je demeure !
Dans ces bras chaque jour je m’émerveille
Subjugué par la beauté au songe vermeille.
Quand ton cœur fait place à l’envie
Je peux y lire la convoitise d'un certain désir !
Dans ce sortilège se dessine un arc-en-ciel
Aux pulsions d'un désir charnel ...
C.Laurette
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Deviendrai-je éphémère ?
J’aurais aimé dormir d’un sommeil d’innocence
Sans effroi, écoutez ce long et doux silence !
Semé d’anneaux de lumière et de joie
En mon âme bercer d’une myriade d’étoiles !
Retrouverai-je un jour l’éclat de mon sourire ?
Je n’ai point assez vécu, pour mourir
J’ai encore tant et tant de choses à vous dire !
Mais voici qu’à présent je n'ose point les écrire !
Nul adieu ne viendra gémir dans l’harmonie
En ce jour de musique et d’ivresse infinie !
Les rides de mon sort sont des feuilles de roses
Atome savouré dans le miel qui l’arrose !
C.Laurette
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Il suffit !
Il suffit parfois d’une étincelle
Pour que renaisse cette ivresse
Cet espoir que l’on a condamné
Dans un délire inavoué
Certaines paroles dites avec simplicité
Peut faire renaître une félicité
On y prend gout et l'on se laisse envouter
Par cet instant singulier et inaccoutumé
Alors on ne veut plus lâcher ce fil conducteur
Qui engloutit à jamais nos chagrins et nos pleurs
C.Laurette
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Nouvel espoir !
L’espoir peut renaître de ses cendres
Si en soi on se penche
Contempler avec les yeux du cœur
Afin d’y trouver une parcelle de bonheur
Même si l’on a des doutes en soi
Savoir patienter et garder la foi
Combien de fois ai-je failli ?
En regardant les murs noircis
Les parois étaient devenues si noires
Tant mon cœur pleuré de désespoir !
Aujourd’hui à mes yeux s’ouvre un nouveau chemin
Il me faut donc prendre la main
De ceux qui savent donner l’amour
Avec leurs cœurs de velours
C.Laurette
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