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La carte recto/verso
Bonjour mes amis ;
Ne croyez surtout pas qu’il n’y a pas de nouveau poèmes !
Seulement, je les range en suivant à leur place respective
Qui se trouve sur la gauche dans les grimoires
Je sais que cela vous fait forcément rechercher
Mais je suis certaine que vous allez découvrir
D’autres poèmes que vous n’avez jamais eu l’occasion de lire
En première page, cela me permettra de pourvoir
Vous souhaiter une bonne journée ou une bonne soirée
Cela me permettra également de changer de sujet
De parler avec vous de la pluie et du beau temps
Maintenant que j’ai remis de l’ordre dans mes dossiers.
Que j'ai établi mes idées préconçues, je vais pouvoir respirer.
Le temps, lui, c’est extrêmement rafraîchi depuis cette nuit
Cela ne m’empêchera pas, d’aller voir ma petite fille demain après-midi
Et de lui souhaiter un bon anniversaire en lui remettant une carte de vœux que j’ai réalisée avec amour !
Demain, elle aura également son enveloppe comme présent !
Elle pourra donc s’acheter ce qui lui fera plaisir
J’irai déguster une part de gâteau et une flute de champagne
Je vous souhaite à tous un excellent weekend
Je vous envoie mes plus douces pensées
À lundi … Bisous votre amie
Juste pour le plaisir de vous dire merci !
Assise devant mon ordinateur
Je vous parle et je vous lis
À la fois irréels et si vrais
À portée de main et d'esprit
Je butine lentement vos écrits
Ravi de lire ce que votre main a dicté
Je tends l’oreille afin d’écouter
Les échanges de nos cœurs à cœurs
De nos doigts pianotant nos écrits
Partageant plaisirs, joies et bonheurs
Et tristesses ! Aussi !
J'aimerais poser sur votre écran
Aussi léger qu'un souffle d'ange
Un sourire de joie et de vie
Afin de ne jamais la voir qui s’évapore
Cette amitié qui vaut de l’or
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Ah ! Si les rimes pouvaient partager.
Tout le bonheur en nos cœurs renfermé
Des rayons de soleil pour faire des bienheureux
Tous ceux qui ont de la pluie dans les yeux
Ah ! Si les rimes pouvaient ôter les plaies
Dans le cœur de ceux que la joie a quittés
Le monde serait un peu plus égalitaire
Les opprimés n'auraient plus à se taire
Ah ! Si les rimes pouvaient enfin savoir.
Emprunter les chemins qui mènent à la victoire
De ceux qui combattent la solitude
Le monde ne serait que mansuétude
Ah ! Si mes vers prenaient le large.
Brisant les frontières cassant des cages
Ils pourraient consoler au passage
Ceux que la solitude retient en otage
Ah ! Si je pouvais de par mes mots.
Briser chaque chaîne retenant les maux
Je me ferais porteuse de bonheur
De porte en porte, chassant les douleurs
Trouvé sur le net
Je vous souhaite de passer
Une très belle et bonne soirée
Une douce et tendre nuit
Bisous votre amie Laurette
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Quelle est donc cette femme ?
Scrutant chaque nuage
Cherchant en chacun d’eux
De quoi faire un vœu !
Malgré ses cheveux blancs
Et son sourire d’ange
Consciencieusement, elle garde
Le secret de son âge.
Les années ont défilé
Lui apportant la sérénité
L’âge de la raison
Viens avec les saisons
Elle repense à son enfant
Courant dans les champs.
Elle repense à son adolescente
Débutante assise sur un banc.
Attendant son jeune amant
Perdu dans ses pensées ardentes.
Ensuite, ce furent les années de femme
Vivant entre amour et drame.
Qui est donc cette femme ?
Qui se farde sous son voile !
Celle qui attend sagement
Les cheveux dans le vent
La venue de ses petits enfants
Témoin du temps restant
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Que faut-il en penser
De ses prévoyances insensées ?
Aurons-nous de temps d’aimer !
De vivre et de rêver
Dans l'amour et la sérénité
Sur notre terre bien aimée.
La futilité de ce monde
Reste le trop-plein et la honte.
Sereinement, j’observe et me dis !
Qu’il fût judicieux de réfléchir
Avant de raconter des idioties
Qui engendre des gens en sursis
La fin du monde préprogrammé
N’est que mensonges et futilités.
La fin du monde n’est pas pour demain
Que l’on arrête de prédire notre destin
Penser vous que tout s’arrêtera !
Comme le prédit le calendrier Maya ?
N’oublions pas qu’en l’an deux-mille
Certains ont payé de leur vie
Pour avoir cru des imbéciles
Des sectes, loin d’être juvéniles
Alors, ne commettons pas cette sottise
De croire encore en ce qu’ils prédisent
Le lendemain du jour fatidique,
Certains grinceront des dents ! Ahuries
D’avoir ainsi été berné
Par des gens irréfléchis et niais
Sornettes et balivernes
Que cette ineptie imaginaire
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